Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
LE BLOG DU CAC-FORMATIONS

restauration

chronique d'une journée pleine de sens...

7 Octobre 2015 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Reconnaissance professionnelle, #Restauration

C'est l'histoire simple de votre quotidien si riche de sens...

Chaque jour, un petit groupe de travailleurs handicapés mentaux quitte leur Centre d'Accueil, à Meudon, pour aller travailler au siège de l'entreprise Schindler.
Avec leur moniteur d'atelier, ils sont responsables du classement des milliards de contrats de maintenance d'ascenseurs que le siège reçoit de toute la France.
Paulette a une belle écriture : c'est elle qui est chargée de repérer le numéro du contrat. David, lui, est très fort en chiffres : c'est lui qui classe. Le chef d'atelier vérifie chaque contrat un par un, avant que François ne vienne les emporter aux archives. Où ils sont rangés parmi des milliers de boîtes.
A midi, ceux qui sont aux archives les rejoignent et le petit groupe déjeune au restaurant de l'entreprise, parmi les employés. Après le repas, ceux qui le souhaitent jouent un moment aux petits chevaux, les autres font une petite sieste, les bras croisés sur le bureau.
Et à 16 h 30, ils reprennent le minibus pour regagner le Centre d'Aide par le Travail.
Ainsi, leur intégration à la grande marche de l'Économie donne du sens à leur travail. Ils se sentent utiles. Et cela se voit : ils sourient, ils sont fiers de venir chez Schindler. Le travail se déroule dans la joie et bonne humeur.
Par leur travail, ces travailleurs particuliers sont à la rencontre de deux mondes : le monde du handicap et le monde de l'entreprise. A travers la vie de cette petite troupe, il s'agit de raconter cette confrontation faite de respect et d'enrichissement mutuels tant pour les handicapés que pour les travailleurs « ordinaires ».

publié par Carole que nous remercions

Lire la suite

Vivre à part entière, un travail ... pour mieux m'intégrer

5 Septembre 2015 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Restauration, #Reconnaissance professionnelle

Chaque jour, un petit groupe de travailleurs handicapés mentaux quitte leur Centre d'Accueil, à Meudon, pour aller travailler au siège de l'entreprise Schindler.
Avec leur moniteur d'atelier, ils sont responsables du classement des milliards de contrats de maintenance d'ascenseurs que le siège reçoit de toute la France.
Paulette a une belle écriture : c'est elle qui est chargée de repérer le numéro du contrat. David, lui, est très fort en chiffres : c'est lui qui classe. Le chef d'atelier vérifie chaque contrat un par un, avant que François ne vienne les emporter aux archives. Où ils sont rangés parmi des milliers de boîtes.
A midi, ceux qui sont aux archives les rejoignent et le petit groupe déjeune au restaurant de l'entreprise, parmi les employés. Après le repas, ceux qui le souhaitent jouent un moment aux petits chevaux, les autres font une petite sieste, les bras croisés sur le bureau.
Et à 16 h 30, ils reprennent le minibus pour regagner le Centre d'Aide par le Travail.
Ainsi, leur intégration à la grande marche de l'Économie donne du sens à leur travail. Ils se sentent utiles. Et cela se voit : ils sourient, ils sont fiers de venir chez Schindler. Le travail se déroule dans la joie et bonne humeur.
Par leur travail, ces travailleurs particuliers sont à la rencontre de deux mondes : le monde du handicap et le monde de l'entreprise. A travers la vie de cette petite troupe, il s'agit de raconter cette confrontation faite de respect et d'enrichissement mutuels tant pour les handicapés que pour les travailleurs « ordinaires ». extraits...

Un film de Nicolas Cornut

Une production Flight Movie
Distribution : ALBALENA FILMS

Lire la suite

Travailler en restauration collective..

29 Août 2015 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Restauration, #Moniteurs d'ateliers, #Reconnaissance professionnelle

Teresa, Travailleur handicapée en l'ESAT , nous parle elle aussi de son métier ,qu'elle découvre... expressions...

Lire la suite

Atelier "Restauration" de L'ESAT de L'Arche en pays toulousain

27 Août 2015 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Restauration

Tous les jours, des membres de L'Arche en pays toulousain cuisinent pour la communauté, au restaurant "L'Etoile du Verger"... Un restaurant mais pas tout simplement..reportage...

Production : Masterfilms

Lire la suite

Reconnaissance des Acquis en Hôtellerie Restauration à l'ESAT

24 Août 2015 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Restauration, #Reconnaissance professionnelle


Les travailleurs handicapés accumulent une expérience, tout au long de leur parcours en ESAT. L’occasion pour eux de bénéficier d’une reconnaissance de ce savoir faire accumulé. Pourtant, malgré des effets particulièrement positifs, peu en profitent. Parmi les établissements qui la mettent en œuvre, Le Poséidon à La Seyne sur Mer.




Nous sommes sur la côte varoise, aux portes de Toulon. L’association « Présence aux personnes handicapées intellectuelles » (devenue par la suite « Présence ») créée en 1979, gère alors un IME. A compter de 1988, elle connaît une forte expansion, ouvrant un nouvel établissement ou service presque tous les ans. Aujourd’hui, elle en gère quinze. L’un d’entre eux a été repris en 1998, en continuité d’une «Union de Mutuelles pour la Promotion Spécialisée d’œuvres Sociales ». C’est le Poséidon, où travaillent quatre vingt dix travailleurs encadrés par trente professionnels, dont seize moniteurs. Aux côtés du traditionnel service d’entretien d’espaces verts, est proposé un accueil hôtelier. La volonté a été claire à son inauguration : opter pour une activité à haute valeur intégrative et offrant une forte plus-value sociale. Pourtant, tout au long des années 2000, l’établissement se limite pour l’essentiel à l’hébergement de vacances pour des groupes de personnes parfois lourdement handicapées. Suite à la parution du Décret du 20 Mai 2009, la volonté associative est d’ouvrir à tous les travailleurs de ses ESAT la possibilité de s’inscrire dans une démarche de reconnaissance des savoirs faire et des compétences. Véronique ALBERTINI, alors Assistante de Service Social et responsable de la mission médico-sociale à l’ESAT Le Poseidon est en formation CAFERUIS . Elle choisit comme thème de mémoire la mise en œuvre de la reconnaissance des savoir-faire et des compétences et de la validation des acquis de l'expérience des ouvriers de l’ESAT « le Poséidon ». Elle fait le choix de commencer d’abord par proposer tant aux équipes de travailleurs handicapés, qu’à celles des encadrants, une phase d’information et de formation. UNIFAF(5), l’organisme paritaire collecteur agréé auquel adhère l’établissement vient justement de passer un accord cadre avec l’AFPA pour favoriser la validation des acquis de l’expérience pour les ouvriers des ESAT et accompagner le financement et l’ingénierie de la démarche.


Vers la validation des acquis ...

Ce dispositif, alors peu connu, Véronique ALBERTINI va l’utiliser pour que chacun s’approprie l’esprit et la lettre de la procédure. Ce sont quatre groupes de huit ouvriers qui participent successivement à une formation de deux jours organisée par le CAC FORMATIONS intitulée « Travailleurs handicapés, validez vos compétences! » leur permettant ainsi de comprendre en quoi consistent un parcours professionnel, le droit à la formation ainsi que les notions de compétence et de VAE. Cette phase de préparation-formation va prendre dix huit mois. A la rentrée des vacances, s’ouvre alors une année (2011-2012) qui sera la première à concrétiser le processus de validation des savoir-faire des travailleurs de l’ESAT. Et c’est le service des espaces verts qui commence, en collaboration avec le centre AFPA de La Valette, faisant ainsi reconnaître leurs compétences au regard du référentiel métier « ouvrier du paysage » ainsi que des travailleurs du secteur hôtelier, en articulation avec le centre AFPA d’Istres, en se rapportant aux référentiels métiers « agent de restauration » et « serveur en restauration ». Au cours de l’année 2012/2013, la démarche continuera avec des Ouvriers des trois mêmes titres. En 2013-2014, se rajoutent deux nouvelles spécialités : « agent d’hôtellerie » et « agent d’hygiène et propreté ». Puis, en 2014/2015, ce sera au tour du titre de « portage de repas à domicile » et d’« agent de propreté du cadre urbain ».


Bilan d’étape ...

Les référentiels métiers utilisés sont à chaque fois ceux qui sont identifiés par le ministère de l’emploi. Ils relèvent donc bien du droit commun. Ils correspondent à un titre professionnel nécessitant une présentation devant un jury, applicable donc à n’importe quel citoyen. Certains des travailleurs handicapés vont pouvoir prétendre à la préparation de la VAE, quand d’autres présenteront certaines compétences seulement. Mais, dans tous les cas, chacun reçoit à minima un certificat attestant de ses capacités (un titre professionnel pour ceux qui l’ont pu). Il n’est pas nécessaire d’avoir tout acquis. Sur les deux premières années, vingt et un des quatre vingt dix ouvriers ont ainsi passé avec succès ces épreuves, dont sept ont bénéficié d’une VAE, cinq d’entre eux ayant obtenu un titre complet. En 2013/2014, c’est trente deux autres qui se sont engagés dans la démarche. Les effets bénéfiques de cette dynamique se font sentir à plusieurs niveaux. Et c’est d’abord sur l’image véhiculée par les travailleurs handicapés que l’évolution a pu se faire sentir : « il y a eu un vrai changement de regard non seulement des moniteurs qui ne s’imaginaient pas l’existence d’une telle marge de progression chez les ouvriers, mais aussi des ouvriers eux-mêmes qui ne se croyaient pas capables de faire reconnaître leurs compétences » explique Véronique ALBERTINI qui constate, par ailleurs, une nette diminution de l’absentéisme et du décrochage chez les travailleurs handicapés. « La place dans l’institution n’est pas la même, dès lors que le travailleur handicapé se reconnaît et est reconnu comme expert de son propre parcours ». Mais il y a un autre effet induit à ne pas négliger, c’est la formidable impulsion que vit un établissement dont l’activité hôtelière avait du mal à démarrer et qui ne cesse aujourd’hui de déployer sa créativité.


Une formidable dynamique ...

Ce sont d’abord des travaux d’aménagement qui ont été menés, rénovant les chambres d’hôtel permettant ainsi l’obtention par l’établissement de sa deuxième étoile. C’est l’inscription à une dizaine de centrales de réservation qui a permis d’accueillir de nouveaux clients. C’est la candidature envisagée pour 2014 à l’exigeant label de « maître restaurateur » qui garantit une cuisine faite maison avec pour l’essentiel des produit frais. C’est la programmation de cours d’anglais, les travailleurs de l’hôtellerie souhaitant pouvoir échanger avec les touristes anglophones. C’est l’établissement de multiples partenariats ouvrant sur le monde extérieur. Telle cette convention en train d’être passée avec le lycée hôtelier Anne Sophie Pic situé à Toulon, permettant un échange de mini-stages, les lycéens étant reçus à l’ESAT et les ouvriers de l’ESAT au lycée. Telle cette autre convention avec un hôtel Campanile pour recevoir en cuisine et restauration des stagiaires du Poséidon les mettant en situation de travail apprenante. Telle cette inscription au sein de l’ADETO (association de développement des entreprises de Toulon Ouest) qui fédère mille trois cent entreprises, constituant une nombreuse clientèle potentielle pour les repas d’affaires. Tel ce Rotary Club qui a d’ores et déjà établi son siège au Poséidon. Cette réussite enthousiasmante, Véronique ALBERTINI a bien volontiers accepté de la transmettre et de la mutualiser avec d’autres ESAT de la région. Mais, au lieu de se déplacer seule pour présenter son expérience aux moniteurs et aux travailleurs des ESAT où elle était invitée, elle s’est faite accompagner par des moniteurs et travailleurs du Poséidon venant parler à leurs pairs de ce qu’ils vivent. Modification de l’image du travailleur handicapé, dynamisation du travail de l’équipe, valorisation de la fonction du moniteur d’atelier dans son aspect formateur, réinscription dans la logique du droit commun, fin du clivage entre les missions économique et médico-sociale, démarche d’inclusion dans le monde entrepreneurial dit « ordinaire » … on n’en finit plus d’énumérer les avantages de la reconnaissance des savoir-faire et des compétences, au sein des ESAT. Dès lors, émerge une question récurrente : pourquoi cette démarche ne se généralise-t-elle pas, plus vite ?


Vers une mutualisation...

Si c’est l’expérience du Poséidon qui a été mis en avant dans ce reportage, il faut rendre hommage au travail patient et résolu du réseau « Différent et compétent », déjà évoqué, qui laboure avec efficacité et détermination le secteur du travail protégé, pour étendre la pratique de la reconnaissance des savoir-faire. Pour autant 350 établissements impliqués dans ce réseau, sur les 1.500 ESAT et 600 Entreprises Adaptées existantes, cela ne représente guère plus que 16 %. Qu’est-ce qui coince ? Sortir de la routine et faire autre chose que ce qu’on a toujours fait demande une énergie et un temps, que toutes les équipes ne veulent pas forcément consacrer, surtout en regard d’un résultat qu’elles peuvent juger aléatoire. La pédagogie en la matière est essentielle pour démontrer tous les avantages que l’on peut en tirer. Certains établissements ont essuyé les plâtres. Les autres peuvent dorénavant s’avancer sur un terrain déminé. Pour impulser une telle innovation, il faut parfois une volonté farouche. Véronique ALBERTINI peut en témoigner. Et si elle récolte aujourd’hui en tant qu’Adjointe de direction, les fruits de son opiniâtreté, combien y croyait, quand elle s’est lancée ? D’autres réticences sont moins avouables. C’est la crainte de certains directeurs de devoir ensuite payer plus cher des travailleurs handicapés devenus plus qualifiés. C’est l’appréhension de certains moniteurs de voir leur autorité se fragiliser du fait de la reconnaissance de leurs ouvriers au même niveau qu’eux. C’est l’incrédulité des travailleurs handicapés doutant de la possibilité de se rapprocher du droit commun et du monde ordinaire. Au final se pose l’une des questions centrales du travail social : peut-on, mais surtout veut-on, développer le pouvoir d’agir des usagers que nous accompagnons, au risque de perdre peu ou prou de notre posture de technicien sachant mieux qu’eux ce qui est bien pour eux ?

publié par Jacques Trémintin - LIEN SOCIAL ■ n°1135 ■ 20/02/2014

Un Hôtel restaurant à essayer sans modération:
Le Poseidon - La Seyne sur Mer
Hôtel ** les pieds dans
l'eau ...
L’hôtel le Poséidon, dispose de vingt trois chambres de 2, 3 et 4 lits dotées chacune d’une salle de bains avec douche, de toilettes, un TV écran plat, un téléphone et une connexion internet WIFI gratuite. Les prix des chambres varient de 60 à 100 euros en basse saison, 68 à 110 en moyenne saison et de 75 à 115 euros en haute saison.
Le restaurant propose 60 couverts : menu à 16 €. Formule de 8,80 € à 13,80 €
Situé au bord de la plage des Sablettes, l’établissement bénéficie d'un accès direct sur la plage.


Hôtel Poséidon - 255 Avenue Charles de Gaulle - 83500 la Seyne sur Mer - Tel. : 04 94 11 02 80
www.le-poseidon.com

Lire la suite

Restauration ,gastronomie en travail protégé

11 Juin 2015 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Restauration, #Moniteurs d'ateliers

Petit reportage au coeur des cuisines de l'Esat Pleyel qui conçoit, prépare, cuisine et livre des plateaux-repas pour des entreprises du secteur privé, sous le label Ateliers Gourmands.
Les Ateliers Gourmands, un label qualité créé par des établissements du secteur protégé,où l'envie et l'excellence sont au service de tous usagers et clients!

Lire la suite

Pierre-Henri Masson, trisomique et cuisinier primé

8 Juin 2015 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Restauration, #Moniteurs d'ateliers

Ce jeune homme atteint de trisomie 21, vient de remporter le premier prix de l'Assiette Gourm'Hand; un concours culinaire national ouvert aux personnes en situation d'handicap mental travaillant dans des structures de travail protégé. Pierre-Henri exerce sa passion au restaurant "Ô Pifaudais" de l'ESATCO de Quévert. Rencontre...

Lire la suite

Le portage de repas à domicile

26 Mai 2015 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Reconnaissance professionnelle, #Restauration

Depuis juillet 2014, la Ville de Toulouse, en collaboration avec le Centre Communal d'Action Sociale, a mis en place un service de portage de repas à domicile.
Dans une première phase, le portage est initié sur les quartiers Empalot, Saint-Michel et Saint-Agne. Il permet d'offrir à une population âgée et modeste, la possibilité d'accéder à une alimentation variée et équilibrée.
C'est l'entreprise d'insertion La Pie Verte qui confectionne et achemine quotidiennement les repas ,qui dépend de l'oeuvre des Orphelins Apprentis d'AUTEIL.


Nées il y a 30 ans, les Entreprises d'insertions forment aujourd'hui un modèle économique étonnamment prémonitoire au regard de la crise économique et de la remise en cause des modèles de croissance…totalement en phase avec le développement de l'entrepreneuriat social.


Positionnées dans le champ concurrentiel, les entreprises d’insertion assument les mêmes droits et devoirs inhérents à toute entreprise : mêmes règles fiscales, juridiques et économiques.
Inscrites "dans le marché", les E.I tirent l'essentiel de leurs revenus de leurs activités économiques. Le chiffre d'affaires tiré de leurs activités représente en moyenne 78% de leurs produits.


Pionnières notamment en matière de collecte, tri et recyclage des déchets, les EI. jouent un rôle essentiel dans la prospection de nouvelles activités et de nouveaux gisements d’emplois.
Traditionnellement bien représentées dans le secteur du bâtiment, les EI s’inscrivent dans les mesures initiées par le Grenelle de l’Environnement, puisqu'elles ont su développer leur savoir faire en matière d’habitat écologique (panneaux photovoltaïques, isolants naturels, construction en bois…). Particulièrement attentives aux notions de développement durable et de responsabilité sociale et environnementale de l’entreprise (RSE), les EI se développent dans les filières émergentes liées à la "croissance verte".

Porteuse d’un projet social...


Convaincue que l’insertion dans la société passe avant tout par l’insertion dans la vie économique, l’entreprise d’insertion utilise l’espace de l’entreprise, avec ses obligations, ses droits et ses devoirs, ses impératifs de production et de qualité pour proposer à des personnes très éloignées de l’emploi, souvent peu ou pas qualifiées, pour beaucoup en situation de marginalisation ou d’exclusion, un véritable emploi avec un statut de salarié (CDDI de 24 mois maximum)
Les EI s’engagent auprès des salariés en insertion à les encadrer, les accompagner et les former pour les amener à retrouver leur place dans la société.

Responsable pour la collectivité...


Au-delà d'accompagner les salariés dans leur placement en entreprise "classique", les EI contribuent à lever les autres obstacles à l’emploi : logement, surendettement, problèmes de santé qui amplifient l’exclusion professionnelle. En cela, l'EI contribue à renforcer la cohésion sociale en restaurant l'estime de soi de personnes en situation d'exclusion. A revenu identique, un individu qui a un travail déclare toujours un niveau de bien être supérieur à celui qui est sans emploi.

Pierre LESCURE Délégué Régional

Lire la suite

Bien manger en maison de retraite et en foyer médicalisé

21 Mai 2015 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Hebergements pour adultes EPHAD Maintien à domicile, #Restauration, #société

Bien manger quand on vit en maison de retraite où en foyer de vie c'est toujours une question d'équilibre et bien plus qu'un simple geste de santé dans la vie des résidents A Criquetot l'Esneval, l'Ehpad de la Pommeraie propose à ses résidents des repas à la carte. Choisir son plat et son menu, comme on choisit le programme de sa journée ou encore son médecin, c'est renforcer l'identité de chacun et redonner à sa vie autant de goût qu'aux plats confectionnés sur place.

Lire la suite

HANDIPLAT (plateau d'aide aux repas pour personnes handicapées entre autres

20 Mai 2015 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Hebergements pour adultes EPHAD Maintien à domicile, #Restauration, #société

"Handiplat" est un plateau pour préparer et prendre un repas en toute autonomie. Il est antidérapant. Équipé de picots courts et longs pour maintenir, éplucher et trancher les aliments.
Muni de cales pour beurrer pain et biscottes, ainsi que d'une assiette et de deux supports pour verre et yaourts.
"Handiplat" c'est la solution pour se restaurer avec un seul bras et en complète autonomie. Pour gauchers ou droitiers.
Personnes concernées par ce plateau: les personnes âgées, les personnes atteintes de la maladie de Parkinson, les personnes handicapées, les personnes ayant un bras immobilisé temporairement.

Lire la suite
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>