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le handicap ne tue pas l'amour!

29 Octobre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #société

Ce clip de sensibilisation sur les handicaps a été réalisé avec et interprété par les élèves du lycée Léon Blum de Draguignan dans le cadre du dispositif « Handicap, parlons-en ! » 2015-2016 de la région PACA, Service Actions Educatives et Airelles Vidéo. reportage...

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28 Octobre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #société, #Vie Sociale

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ecole inclusive à tout prix.... vraiment une bonne chose?

24 Octobre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #société, #Moniteurs d'ateliers

De plus en plus d'enfants handicapés, avec de graves troubles du comportement, sont aujourd'hui scolarisés dans des écoles ordinaires où ils ne peuvent recevoir les soins nécessaires, laissant les enseignants en plein désarroi, a alerté le 17 octobre 2017 le Syndicat national unifié des instituteurs, professeurs des écoles et directeurs Force ouvrière (FO) Paris.

Au nom de l'inclusion systématique

Il assure avoir reçu au cours des derniers mois de nombreux témoignages de directeurs, d'enseignants ou de parents faisant état d'une situation devenue «ingérable» dans de plus en en plus d'écoles parisiennes. Au nom de «l'inclusion systématique» des enfants handicapés, depuis la loi de février 2005, ceux qui nécessiteraient des soins adaptés dans des établissements spécialisés sont en fait scolarisés dans des écoles ordinaires. Conséquence : des situations de violence sont fréquemment signalées par des enseignants désemparés et non formés pour y faire face.

Enfants en danger

« J'ai dans ma classe un enfant de 6 ans avec des tendances suicidaires, qui est dangereux pour lui-même et pour les autres enfants», a par exemple témoigné Sophie, enseignante, lors de la conférence de presse du SNUDI FO. Un auxiliaire de vie scolaire (AVS) devrait arriver dans l'école pour l'accompagner après les vacances de la Toussaint mais selon elle, « ce ne sera pas suffisant ; il devrait être pris en charge par un hôpital de jour ». « Dans l'école où je suis, il y a un élève lourdement handicapé qui hurle au fond de la classe», témoigne une autre prof, qui se dit «totalement impuissante » pour assurer la sécurité de cet enfant et celle des autres élèves.

Un point de rupture

Le syndicat a rappelé que le coût d'un élève en classe ordinaire s'élevait à environ 3 600 euros par an, contre 20 000 à 50 000 en établissement spécialisé. Or, pour faire des économies, le nombre de places dans des classes ou établissements spécialisés a été réduit au cours des dernières années, déplore-t-il. «On arrive aujourd'hui à un point de rupture», a alerté Bernard Lempereur, secrétaire départemental du syndicat. «Des enfants sont aujourd'hui abandonnés à leur handicap, les enseignants sont en plein désarroi et les familles dans l'incompréhension», a-t-il dit. 

Réaction indignée

Face à ces déclarations, Olivia Cattan, présidente de SOS autisme France, a souhaité réagir, rappelant à « Mr Lempereur que la France a été condamnée par le Conseil de l'Europe de nombreuses fois parce qu'aujourd'hui trop peu d'enfants en situation de handicap bénéficient de cette inclusion scolaire à laquelle ils ont droit » et que « l'Education est un droit pour tous, non négociable ». Selon elle, le véritable problème est le manque de formation des professeurs, d'AVS formées et payées correctement et de volonté de certains enseignants d'accueillir au mieux les élèves handicapés en adaptant leur apprentissage comme la loi le stipule. Elle rappelle que seuls 20% des enfants autistes sont admis l'école primaire, un taux « bien faible » comparé aux pays voisins.

Faits de violence ?

Olivia Cattan insiste également sur le fait que, selon une étude parue dans Le Parisien, 442 faits de violence par jour sont répertoriés dans les écoles sur tout le territoire français. Or aucun d'eux n'a été commis par des enfants en situation de handicap. « Va-t-on pour autant renvoyer tous ces enfants de l'école et les placer dans des hôpitaux ? », questionne cette maman d'un enfant autiste.  Elle déplore, enfin, que FO conseille aux parents de mettre leurs enfants dans des hôpitaux de jour, arguant que ce syndicat d'enseignant n'est pas « compétent en la matière, ni habilité à le faire ». Elle invite à une rencontre pour éviter, à l'avenir, de relayer de tels préjugés… Dans le même temps, une experte mandatée par l'Onu pour passer le système français au crible (article en lien ci-dessous) recommande au gouvernement français de lancer  « un plan d'action pour fermer progressivement ces institutions et les transformer en services implantés dans la communauté ». Besoin d'un compromis ? Quelle solution ?

sources Handicap.fr

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la cause de la dyslexie enfin démontrée?

24 Octobre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #société, #social, #Hebergements pour adultes EPHAD Maintien à domicile, #Moniteurs d'ateliers

L'Association nationale des associations de parents d'enfants dyslexiques (Anapedys) a appelé à interpréter les conclusions de cette étude avec « prudence ».


Comment expliquer scientifiquement les causes de la dyslexie ? Des chercheurs français pensent que la maladie pourrait être liée à une malformation oculaire. « Nos observations nous permettent de penser que nous avons trouvé une cause potentielle de la dyslexie », affirme à l'AFP Guy Ropars, chercheur à l'université de Rennes, coauteur de l'étude parue le 18 octobre 2017 dans la revue britannique Proceedings of the Royal Society B.

Source de confusion pour le cerveau

Selon ces travaux, cette cause est anatomique et se niche dans une minuscule zone des yeux. Chez les personnes qui ne sont pas atteintes de dyslexie, cette zone n'a pas la même forme d'un œil à l'autre: il y a une asymétrie. Le cerveau choisit donc le signal envoyé par l'un des deux yeux, le dominant, pour créer l'image que voit la personne. Chez les personnes dyslexiques en revanche, la fameuse zone a la même forme dans les deux yeux et aucun des deux, selon l'étude, n'est donc dominant. Cela pourrait être source de confusion pour le cerveau en créant des « images-miroirs » entre lesquelles il est incapable de choisir. Lorsqu'ils lisent, les dyslexiques souffrent d'un effet-miroir, en confondant par exemple les lettres b et d. « L'asymétrie est nécessaire pour éliminer l'image miroir, qui empêche une lecture normale si elle persiste comme chez les dyslexiques, ajoute M. Ropars. Pour les enfants et pour les adultes, l'asymétrie offre une nouvelle méthode de diagnostic relativement simple. »

Deux formes distinctes

La zone qui a intéressé les chercheurs se trouve dans la fovéa, partie de la rétine où l'acuité visuelle est la plus forte. « Notre rétine comporte une mosaïque de photorécepteurs composés de bâtonnets et de cônes. Pour détecter toutes les couleurs, il y a trois sortes de cônes, comme dans un poste de télévision: les bleus, les verts et les rouges, décrypte M. Ropars. La fovéa est une petite dépression au centre de la rétine où les cônes sont les plus nombreux et les plus fins. » À cet endroit, on trouve un minuscule trou sans cônes bleus. Selon l'étude, cette zone sans cônes bleus a la même forme ronde dans les deux yeux des personnes dyslexiques. À l'inverse, chez les personnes qui ne sont pas atteintes, cette zone est ronde dans l'œil dominant mais a une forme irrégulière dans l'autre. M. Ropars et son collègue Albert Le Floch sont parvenus à ces conclusions en comparant deux groupes de 30 étudiants, l'un composé de dyslexiques et l'autre de non-dyslexiques.

Lampe magique

« L'existence des délais entre l'image primaire et l'image miroir dans les hémisphères opposés (de l'ordre de 10 millisecondes) nous a permis de mettre au point une méthode pour effacer l'image miroir qui gêne tant les dyslexiques », souligne par ailleurs M. Ropars. Cette méthode repose sur l'utilisation d'une sorte de lampe stroboscopique à LED, que les personnes dyslexiques doivent utiliser quand ils lisent. Selon M. Ropars, certains des étudiants dyslexiques l'ont surnommée la « lampe magique ». Elle flashe à une fréquence invisible à l'œil nu mais calée sur le délai de quelques millisecondes entre l'image primaire et l'image miroir.

Rester prudent

« Il existe d'autres possibilités de traitement pour contrecarrer la trop grande symétrie, utilisant la plasticité du cerveau. Elles pourront probablement être adaptées par des médecins », affirme Guy Ropars. L'Association nationale des associations de parents d'enfants dyslexiques (Anapedys) a appelé à interpréter les conclusions de cette étude avec « prudence ». « Nous sommes toujours intéressés par de nouvelles pistes de rééducation, mais d'autres causes anatomiques ont déjà été citées par le passé, au niveau des corps calleux du cerveau ou de l'organisation des neurones », a déclaré à l'AFP sa présidente, Agnès Vetroff. Selon elle, « il faut toujours regarder ce qui se passe (dans la recherche) mais rester prudent ». La dyslexie toucherait quelque 700 millions de personnes dans le monde.

© Анна Ковальчук/ Fotolia

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Intégration des jeunes sortants d'IMPRO en ESAT, le témoignage d'ANISSA

24 Octobre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Reconnaissance professionnelle, #société

L’ESAT Les Robinsons (92), en partenariat avec un IMPro, a réalisé un film sur l’intégration des jeunes d’IMPro en ESAT. Un témoignage touchant d'Anissa, jeune professionnelle en apprentissage d’un métier.

Pour en savoir plus sur la Fondation des Amis de l'Atelier : http://www.fondation-amisdelatelier.org sources de diffusion You tube

 

 

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23 Octobre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers

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Nouvelle formule pour le chèque emploi service :Handicap ,travail protégé

23 Octobre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #société

Le Cesu (Chèque emploi service universel) lance le 17 octobre 2017 une version "moderne" de son site internet, qui permet aux particuliers-employeurs de déclarer chaque mois la rémunération de leurs salariés, dans le but notamment de préférer la déclaration numérique au papier. « Cet outil a connu une forte augmentation ces dernières années, il fallait le refondre », a expliqué à la presse Yann-Gaël Amghar, directeur de l'Acoss, organisme collecteur des cotisations de Sécurité sociale, qui gère le Cesu.

2 millions d'employeurs...

Près de deux millions de particuliers-employeurs utilisent le site du Cesu, dont plus de la moitié ont plus de 60 ans, pour déclarer chaque mois leurs salariés. Ménage, assistance aux personnes âgées ou handicapées, soutien scolaire, garde d'enfant, bricolage, jardinage... Il facilite les formalités liées à l'emploi d'une personne à domicile quelques heures par semaine en éditant sa fiche de paie, en calculant les cotisations dues par l'employeur et en les prélevant directement sur son compte.

Nouvelles fonctionnalités

Principale amélioration du site, il sera désormais « adapté pour une utilisation sur smartphones et tablettes », a présenté Adrien Gauthier, responsable de la communication du Cesu, souhaitant ainsi « viser un public plus large et faciliter la déclaration numérique aux personnes âgées ». Depuis sa mise en service en 2003, le site n'avait pas connu de modifications majeures. D'autres fonctionnalités « plus modernes » et « intuitives » ont donc été ajoutées : un simulateur de coût pour les charges à verser, une grille indiquant les salaires minimum selon l'activité, ou encore un formulaire de contact plus développé pour répondre aux questions des utilisateurs.

2019 : calculer l'impôt !

« Les particuliers-employeurs sont souvent isolés dans leur démarche, nous devons les accompagner », a ajouté M. Amghar. La refonte était en outre nécessaire avant la mise en place du prélèvement de l'impôt à la source, selon lui. Car au 1er janvier 2019, le Cesu devra calculer l'impôt sur le revenu pour l'employeur et le collecter directement sur le salaire de l'employé. Actuellement, 70% des utilisateurs utilisent la télédéclaration et 30% la déclaration sur papier, soit encore 600 000 chaque mois.sources Handicap.fr

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La vie à l'ESAT

22 Octobre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #société

Ce film a été réalisé lors d'un atelier vidéo animé par Cyril Zilbermann. Les travailleurs ont écrit, réalisé et monté ce film lors de l'année scolaire 2015/2016.

sources You tube. contact : cyril@holiprod.com

 

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Plan Handicap et loi MACRON

21 Octobre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Reconnaissance professionnelle, #social, #société

Comme un écho aux promesses faites par Jean-Marc Ayrault puis Manuel Valls, les CIH (Comité interministériel du handicap) se suivent et se ressemblent… 17 pages de mesures pour Edouard Philippe en 2017, 36 pour Manuel Valls en 2016, 45 pour Jean-Marc Ayrault en 2013. Des « objectifs », des « engagements », souvent les mêmes, toujours à 5 ans. Le premier CIH du quinquennat Macron s'est réuni à Matignon le 20 septembre 2017 sur le thème « Vivre avec un handicap au quotidien ». La mesure phare a porté sur l'augmentation de l'AAH (article en lien ci-dessous).

Peut mieux faire

Balayant d'avance les déceptions, Edouard Philippe a insisté sur les autres sujets abordés lors de ce comité pour « améliorer la vie de tous les jours » des personnes handicapées à travers 5 grands domaines : accueil et accompagnement tout au long du parcours de la crèche à l'université, insertion professionnelle, logement, accès aux droits, aux soins et à la prévention et enfin aux sports et à la culture (article en lien ci-dessous). « Des progrès ont déjà été réalisés » mais « on peut faire mieux », a assuré Edouard Philippe. Insistant sur l'implication de tous les membres de son gouvernement, il a affirmé « qu'aucun ministère, aucune personne publique » ne peut « se dispenser de participer à l'effort ». Sa feuille de route apporte des éclairages sur ses premières orientations et décisions…

Les annonces majeures

Dans la perspective des Jeux de Paris en 2024, le Premier ministre a souligné que SNCF Réseau s'est engagé à investir 870 millions d'euros dans l'accessibilité des transports. Affichant sa volonté d'éviter les « ruptures » dans les parcours scolaires, il a annoncé la création de 250 classes Ulis (unités localisées pour l'inclusion scolaire) dans les lycées pendant le quinquennat. L'enseignement supérieur mobilisera « 1 000 services civiques dès 2018, et 2 000 dès 2019 », pour faciliter l'intégration des étudiants handicapés. Une nouvelle enveloppe de 15 millions d'euros sera dédiée à la prévention des départs en Belgique.

Emploi, logement, autisme…

M. Philippe a par ailleurs estimé que la loi de 1987, qui a instauré l'obligation pour les entreprises privées (puis publiques en 2005) d'employer 6% de travailleurs handicapés, n'avait pas donné des résultats satisfaisants. « Nous devons nous interroger sur la pertinence du dispositif et la façon dont on peut relancer l'insertion professionnelle ». Concernant le logement, il a affiché l'ambition « d'atteindre l'objectif de 100% de logements adaptables » au handicap dans les constructions neuves, c'est-à-dire « évolutifs ou réversibles » pouvant être rendus totalement accessibles, sur demande, par des travaux assez simples. Il a par ailleurs assuré que des budgets seraient fléchés, sous forme de subventions aux collectivités territoriales, pour améliorer l'accessibilité des lieux recevant du public. Il a promis « 100 % des ERP dans la démarche Ad'AP et 100 % des ERP de l'Etat accessibles d'ici 2022 ». Le Premier ministre a, en conclusion, confirmé qu'un 4e plan autisme serait dévoilé "début 2018".

Le point de vue des asso

La plupart des associations du champ du handicap ont estimé, à l'instar de l'APF (Association des paralysés de France), que la tenue de ce comité dès le début de quinquennat envoyait un « signal positif », soulignant la « volonté de mener une politique du handicap avec une approche transversale et inclusive ». Elles déplorent néanmoins quelques « oublis »…

Du côté des ressources…

L'APF regrette par exemple que les bénéficiaires de pension d'invalidité ou de rente -dont le montant est parfois très faible- n'aient bénéficié, contrairement aux allocataires de l'AAH, d'aucune annonce ou revalorisation. De son côté, l'Unapei (association de personnes avec un handicap mental) s'inquiète que les prochaines mesures de simplification, de clarification des dispositifs d'aides publiques et fiscaux ainsi qu'une future réforme des minimas sociaux ne viennent annuler les effets de la revalorisation de l'AAH. Elle met en garde sur « des annonces qui ne seraient pas suivies d'une réelle hausse de niveau de vie des personnes en situation de handicap, malheureusement souvent condamnées à la précarité »

La PCH, grande oubliée ?

Grande oubliée de ce CIH, la compensation du handicap. La Fnath (fédération des accidentés de la vie) remarque qu'elle ne fait l'objet d'aucun « chantier » alors que ses contours et les montants n'ont pas évolué depuis 2005. « L'absence d'orientations concernant la PCH n'est pas compréhensible alors que les besoins d'aide humaine, de financement des aides techniques, de l'aménagement du logement et du véhicule figurent parmi les préoccupations majeures des personnes en situation de handicap », renchérit l'APF.

Une solution pour tous ?

La question de l'accueil des personnes handicapées est également au cœur des préoccupations. Or l'Unapei s'inquiète de « mesures en demi-teinte comme de l'absence de réponse pérenne aux situations d'urgences de dizaines de milliers de personnes handicapées aujourd'hui sans solution d'accueil et d'accompagnement en France ». « Cela passe, selon elle, par une transformation de l'offre médico-sociale, une réforme de profondeur (…) qui prendra nécessairement des années ». « En attendant, poursuit-elle dans un communiqué, le gouvernement annonce une généralisation du dispositif « réponse accompagnée pour tous », aujourd'hui utilisé pour résoudre temporairement des situations critiques, et qui, sans moyen financier nouveau, ne pourra répondre durablement aux besoins et résorber les longues listes de personnes en attente d'accompagnement adapté ». Autre situation partiellement traitée, celle des personnes accueillies faute d'autre choix en Belgique. Le gouvernement annonce un doublement de l'enveloppe « pour prévenir les départs non souhaités », mesure qui reste floue, et oublie celles actuellement accueillies en Belgique via des financements français faute d'accompagnement de proximité. L'Unapei attend un plan d'urgence de création de solutions d'accompagnement durables.

Normes handicap dans l'habitat

Les récentes déclarations du gouvernement sur l'allègement des normes handicap (article en lien ci-dessous) dans la construction ont également tout lieu d'inquiéter les personnes concernées. « Derrière la simplification se cache en effet concrètement une diminution des exigences relatives à l'accessibilité des personnes handicapées, déclare la Fnath. Des logements moins accessibles, dans une société vieillissante, constituent un recul important et un risque supplémentaire d'exclusion des personnes handicapées. »

Relais téléphonique aux abonnés absents

Enfin, Jérémie Boroy, délégué général d'Aditus, juge particulièrement « inquiétant » qu'aucune mention n'ait été faite du relais téléphonique pour les personnes sourdes. « Après plus de 10 ans de mobilisation, un consensus avait été trouvé avec la loi pour une République numérique puis le décret du 9 mai 2017, explique-t-il. Mais il reste tout à faire avant le lancement du dispositif qui doit démarrer en octobre 2018. À ce jour, rien ne semble avoir été entrepris par le nouveau gouvernement ».

Tous affirment se montrer extrêmement vigilants sur les promesses faites et les chantiers en cours. Un premier bilan pourrait être dressé d'ici quelques mois puisqu'Edouard Philippe a annoncé qu'une Conférence nationale du handicap se tiendra en mai 2018.

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EMPRO recrute Educateur Spécialisé (H/F)

20 Octobre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #société

EMPRO recrute en CDD longue durée 1 éducateur spécialisé (H/F) pour l’encadrement de l’atelier Espaces verts. Expérience exigée, permis indispensable.

Dynamique, vous disposez de bonnes qualités relationnelles, des capacités d’adaptation et un sens de l’écoute et des responsabilités.

Vous avez de l’aisance à l’écrit et vous maîtrisez l’outil informatique.

Placé sous le responsabilité de la directrice adjointe, vous animez les ateliers espaces verts en lien avec les projets individuels des usagers et assurez la rédaction de vos projets. Vous travaillerez en équipe pluridisciplinaire.

Envoyer CV + LM à Mme MARQUISE à contact-empro@lrs93.fr

 

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