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IMMERSION EN EPHAD

30 Juin 2019 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Hebergements pour adultes EPHAD Maintien à domicile

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Qualité et capacités d'adaptations de l'ESAT en milieu ordinaire

24 Juin 2019 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #société, #Logistique

diffusion You Tube

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Le handicap psychique et sa prise en charge

23 Juin 2019 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Accompagnement psychologique, #Handicap

La notion de handicap psychique défendue par l’Unafam, a été retenue dans la loi du 11 février 2005 dite loi sur le handicap. Elle permet aux personnes malades, et à leur entourage, de sortir d’une longue période ou la maladie et le handicap n’étaient pas reconnus.Les établissements de travail protégé sont de plus en plus confrontés par l'accueil et la prise en charge de celui-ci:

Le handicap psychique se distingue du handicap mental de la façon suivante :

  • le handicap mental résulte le plus souvent de pathologies identifiables (traumatisme, anomalie génétique, accident cérébral). Il associe une limitation des capacités intellectuelles qui n’évolue pas, une stabilité dans les manifestations des symptômes, et une prise de médicaments très modérée.
  • le handicap psychique, secondaire à la maladie psychique, reste de cause inconnue à ce jour. Les capacités intellectuelles sont indemnes et peuvent évoluer de manière satisfaisante. C’est la possibilité de les utiliser qui et déficiente. La symptomatologie est instable, imprévisible. La prise de médicaments est le plus souvent indispensable, associée à des techniques de soins visant à pallier, voire à réadapter, les capacités à penser et à décider.

Le handicap psychique est la conséquence de diverses maladies :

  • les psychoses, et en particulier la schizophrénie
  • le trouble bipolaire
  • les troubles graves de la personnalité (personnalité border line, par exemple)
  • certains troubles névrotiques graves comme les TOC (troubles obsessionnels compulsifs)
  • parfois aussi des pathologies comme les traumatismes crâniens, les pathologies vasculaires cérébrales et les maladies neuro-dégénératives.

Dans le handicap psychique, c’est l’organisation qui est en cause, comme l’organisation du temps, l’anticipation des conséquences d’un acte, la possibilité de communiquer de façon participative, mémoriser, concevoir les réactions des autres… associés à la non reconnaissance des troubles, à la dénégation(le déni), à l’absence de participation sociale.
La situation de handicap rend la vie difficile pour la personne malade et son entourage.

Cinq domaines de la vie courante sont à prendre en considération au quotidien pour évaluer l’importance du handicap :

  • la capacité à prendre soin de soi
  • à établir des relations durables
  • à se former et à assurer une activité
  • à se maintenir dans un logement
  • à organiser une vie sociale et des loisirs

La connaissance des particularités de la situation de handicap psychique permet d’aider la personne malade à faire des projets et à retrouver une place parmi les autres.

J.LUC OURADOUX  psychiatre intervenant

 
 
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Déficience intellectuelle et handicap mental au quotidien

21 Juin 2019 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Hebergements pour adultes EPHAD Maintien à domicile, #Handicap, #Hébergement Vie sociale

 

Le handicap mental est la conséquence sociale d'une déficience intellectuelle.

La personne handicapée mentale est avant tout une personne. Elle a les mêmes droits et les mêmes devoirs que les autres. Elle bénéficie d'un droit supplémentaire aux autres, lié à sa situation de handicap : le droit à compensation. Ce droit est affirmé dans la loi du 11 février 2005.

 

Quelques définitions

 L'une des avancées de la loi du 11 février 2005 dans son article 2 est l'adoption d'une définition commune du handicap :

 « Constitue un handicap (...) toute limitation d'activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d'une altération substantielle, durable ou définitive d'une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d'un polyhandicap ou d'un trouble de santé invalidant. »

Cette définition est corrélée par celle de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) qui donne la définition suivante : « Est appelé handicapé celui dont l'intégrité physique ou mentale est progressivement ou définitivement diminuée, soit congénitalement, soit sous l'effet de l'âge, d'une maladie ou d'un accident, en sorte que son autonomie, son aptitude à fréquenter l'école ou à occuper un emploi s'en trouve compromise. »[1]

Elle donne également la définition de la déficience intellectuelle : « La personne ayant une déficience  intellectuelle a une capacité plus limitée d'apprentissage et un développement de l'intelligence qui diffère de la moyenne des gens. »[2]

Au-delà du handicap, l'Unapei a toujours vu les personnes qui en étaient atteintes et s'est attachée à en définir la singularité :

« La personne handicapée, quelle que soit la nature de sa déficience, est d'abord une personne. Ordinaire parce qu'elle dispose des droits de tous et accomplit les obligations de chacun. Singulière parce qu'en plus de tous, elle en connaît d'autres, qui lui sont propres, qui résultent de son handicap et qui appellent d'être compensés. C'est à la solidarité collective qu'il appartient d'ailleurs de reconnaître et de garantir cette compensation. La personne handicapée mentale est porteuse de manière permanente d'une déficience intellectuelle dont l'origine peut être très diverse. Cette déficience provoque un handicap car elle touche à différentes fonctions : la compréhension, la mémoire, l'analyse des situations, la prise de décisions... »[3]

 

Les origines du handicap mental

Les origines du handicap mental peuvent être diverses :

  • À la conception : maladies génétiques, aberrations chromosomiques, incompatibilité sanguine, etc.
  • Pendant la grossesse : radiation ionisante, virus, médicaments, parasites, alcool, tabac, rougeole ou rubéole chez la mère, toxines consommées (poissons contaminés au mercure), infections ou maladies contractées par la mère, carences alimentaires de la mère, etc.
  • À la naissance : souffrance cérébrale du nouveau-né, prématurité, exposition à des toxines ou infections lors de l'accouchement, pressions excessives sur la tête, etc.
  • Après la naissance : maladies infectieuses, virales ou métaboliques, intoxications, traumatismes crâniens, accidents du travail ou de la route, noyades, asphyxies, causes environnementales (manque de stimulation physique et sensorielle, absence de soins de santé...), etc.

 

Les difficultés rencontrées par les personnes handicapées mentales

Chaque personne handicapée mentale est différente et présente des capacités et des difficultés propres. En fonction des individus, le handicap s'avère plus ou moins important, le degré d'autonomie des personnes est donc plus ou moins grand. Du fait de la limitation de ses ressources intellectuelles, une personne handicapée mentale pourra éventuellement éprouver certaines difficultés à :

  1.  
    • comprendre son environnement immédiat ou élargi ;
    • comprendre les concepts généraux et abstraits ;
    • se repérer dans l'espace et/ou dans le temps ;
    • fixer son attention ;
    • mobiliser son énergie ;
    • traiter et mémoriser les informations orales et sonores ;
    • apprécier l'importance relative des informations mises à sa disposition ;
    • maîtriser le calcul et le raisonnement logique ;
    • comprendre les modes d'utilisation des appareillages, automates, et autres dispositifs mis à sa disposition ;
    • maîtriser la lecture et/ou l'écriture
    • prendre conscience des conventions tacites de la vie en société ;
    • s'exprimer ;
    • s'adapter aux changements imprévus

 

Quelques chiffres...

Aujourd'hui, la France compte 3,5 millions de personnes handicapées.

Parmi elles, 2 millions sont porteuses d'un handicap sévère. 650 000 à 700 000 d'entre elles se trouvent en situation de handicap mental, ce qui représente environ 20 % des personnes handicapées.

Chaque année, entre 6 000 et 8 500 enfants naissent avec un handicap mental.

 

 

[1] Romain LIBERMAN, Handicaps et maladies mentales, Que sais-je ?, PUF, 2003

[2] Fiche n° 6 sur la déficience intellectuelle rédigée et éditée par l'AWIPH en collaboration avec l'AFrAHM.

[3] Régis DEVOLDERE, « La personne handicapée mentale acteur de sa propre vie »,

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ESAT Hors le murs....mode d'emploi...

20 Juin 2019 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Reconnaissance professionnelle, #Moniteurs d'ateliers

Les établissements et services d’aide par le travail (ESAT) ont développé, depuis une vingtaine d’années, des activités « hors murs » afin de proposer à leurs usagers une expérience professionnelle en milieu ordinaire de travail, requérant davantage d’autonomie qu’en atelier et générant aussi une socialisation et un épanouissement plus grands.

« Le hors murs correspond à une évolution globale visant à diversifier les réponses, rappelle Gérard Zribi, président d’Andicat, association de directeurs d’ESAT, de même que les foyers d’hébergement ont développé un accueil en appartement autonome, les ESAT offrent des prises en charge variées et évolutives. » Les travailleurs accueillis en ESAT souffrent pour 90 % d’entre eux de handicaps psychiques, mentaux ou de déficience intellectuelle. « L’expérience du milieu ordinaire permet de côtoyer des collègues non-handicapés, de prendre part à la vie économique, de développer des compétences techniques, du savoir-être, c’est un aspect important de la citoyenneté que nous encourageons », indique Anne-Claire Patriat à la fédération des Apajh, qui gère une vingtaine d’ESAT. « Notre mission n’est pas de faire du placement en milieu ordinaire mais de proposer des activités professionnelles au plus près des attentes et des possibilités de nos bénéficiaires », précise Fabienne Pressart, directrice du Manoir, ESAT de l’association Afaser, à Champigny.

Détachements collectifs

Ainsi, en parallèle de la production en ateliers protégés, de nombreux ESAT organisent des détachements collectifs de main-d’œuvre en entreprise. « Une dizaine de personnes travaillent pour la municipalité à l’entretien des voiries dans des conditions proches du milieu ordinaire, indique Fabienne Pressart, ils sont encadrés en permanence par un moniteur d’atelier mais les riverains les interpellent comme des employés municipaux. » À Taverny, l’ESAT de l’Apajh détache depuis vingt ans une unité de production dans une usine de cosmétiques : « Les travailleurs y vont par roulement pour deux semaines et sont impatients de s’y rendre, de manger au restaurant d’entreprise, de sortir de l’ESAT », ajoute José Fernandès, son directeur. Ce partenariat a permis trois embauches en CDI.

Dispositif Passmo : passerelle vers le milieu ordinaire

La fédération des Apajh a lancé en mai 2009 le dispositif Passmo, en partenariat avec le ministère de l’Emploi et l’Agefiph, afin de faciliter l’embauche en milieu ordinaire de travailleurs issus d’ESAT. Pour un recrutement en CDI ou CDD d’un an, l’entreprise perçoit une aide de 9000 € par an pour un temps plein, versée par l’Agefiph, et l’ESAT perçoit une aide au tutorat de 2100 € par an pendant trois ans, versée par l’Etat. Au-delà de ces aides financières, le dispositif Passmo est sécurisant car il garantit à l’entreprise un accompagnement de l’ESAT pendant trois ans et assure au salarié de pouvoir réintégrer l’ESAT en cas d’échec. L’expérimentation menée dans l’Isère a donné de très bons résultats et conduit à étendre le dispositif à vingt-huit départements

Une formule intermédiaire consiste à offrir une prestation de service gérée par l’ESAT mais ouverte au public. C’est ainsi que Le Manoir gère deux cafétérias à Paris, à l’hôpital de Bon Secours et à l’IRTS : « Nous proposons un vrai service de restauration pour de vrais clients, mais les horaires sont aménagés et les équipes sont toujours encadrées, explique la directrice, cela permet une grande souplesse pour les usagers, qui peuvent alterner quelques heures de travail à la cafétéria et le reste en atelier protégé, par exemple. »

Détachements individuels

Le « hors murs » peut aussi prendre la forme de détachements individuels en entreprise avec un accompagnement plus léger. « Cela nécessite bien sûr un savoir-être et une grande autonomie de la personne pour se déplacer, respecter des horaires, effectuer seule les tâches qu’on lui demande », précise Fabienne Pressart.

Au Manoir, certains usagers y parviennent après plusieurs années de travail en atelier, d’autres intègrent le milieu ordinaire dès leur arrivée, après un stage dans une entreprise partenaire. Le moniteur définit très précisément les horaires et les missions de la personne – entretien d’espaces verts, ménage, manutention - en fonction de ses capacités et l’accompagne sur le terrain quelques jours pour la prise de fonction. « Le moniteur peut intervenir pour traduire les consignes, faire des fiches, utiliser des dessins, des codes couleur », indique José Fernandès qui dirige deux établissements de l’Apajh. Car du fait de leur handicap, la plupart des bénéficiaires ne comprennent pas les consignes complexes, ont du mal à se repérer dans le temps ou à suivre une procédure mentale. « Pour sécuriser les travailleurs, on essaye de ritualiser les activités, d’alléger les horaires, de prévoir des rencontres avec le psychologue de l’ESAT », ajoute Fabienne Pressart.

Quand la personne est autonome à son poste, le moniteur espace ses visites et reste disponible en cas de besoin. Il fait régulièrement le point avec l’entreprise et le travailleur. « Il faut parfois faire de la pédagogie, expliquer à l’employeur que la lenteur de la personne n’est pas de la mauvaise volonté, qu’il faut lui répéter plusieurs fois les choses. » Le détachement individuel demande un taux d’encadrement supérieur, il faut compter un moniteur pour cinq personnes au lieu d’un pour quinze en atelier. « Même si ça a un coût pour l’établissement, on tient beaucoup à ce détachement, cela fait partie de notre stratégie pédagogique, cela permet aux usagers de prendre l’air, de voir autre chose », indique José Fernandès.

Les limites du hors murs

Néanmoins, une insertion en milieu ordinaire n’est pas à la portée de tous : « Les détachements collectifs se font sur la base du volontariat car malgré un encadrement permanent et un transport en minibus, c’est trop déstabilisant pour certains », admet José Fernandès. « Beaucoup de bénéficiaires ont des troubles de la personnalité importants qui rendent quasi-impossible un détachement individuel en entreprise, ajoute la directrice du Manoir, conserver une production en ateliers nous permet de prendre en charge différents degrés de handicaps, sans faire de sélection des usagers. » Car tout le monde n’a pas l’autonomie suffisante pour travailler en milieu ordinaire. « Et même les plus autonomes peuvent avoir besoin de revenir ponctuellement se reposer quelque temps dans un milieu plus contenant, plus rassurant », ajoute Gérard Zribi.

C’est pourquoi les activités hors murs concernent en général une minorité de personnes : à titre d’exemple, dans les ESAT gérés par la fédération Apajh, seuls 14 % de travailleurs sont en détachement collectif et 4 % en détachement individuel. Les ESAT hors murs de l’Adapt constituent un cas particulier : tous leurs usagers, triés sur le volet, sont mis à disposition dans des entreprises ordinaires et une partie est embauchée en CDI (lire l’interview de deux responsables de l’Adapt).

« Attention aux dérives, prévient Andreia Clave, directrice administrative des Chapiteaux Turbulents à Paris, les pouvoirs publics « encouragent » l’insertion en milieu ordinaire à tout prix, à tel point que certains ESAT doivent remplir des objectifs annuels d’insertion, leur non réalisation entraînant une diminution des financements publics. » Andréia Clave rappelle que l’accès au travail en milieu ordinaire est souvent « l’aboutissement d’un projet de vie pour le travailleur ESAT et la résultante d’un travail d’équipe qui pour pouvoir aboutir doit rester en dehors des logiques comptables et quotas d’insertion. »

 sources lien social N°961

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formations CACES en ESAT

18 Juin 2019 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Accompagnement professionnel, #Logistique, #Certifications & VAE

Depuis décembre 1998, le code du travail (article R231-38) oblige les ESAT (Établissements et Services d'Aide par le Travail, anciennement CAT) ou entreprises adaptées à former leurs ouvriers et personnels à l'utilisation des engins de transport et de levage (transpalettes, chariots élévateurs, tracteurs...). Obligatoires dans le cadre d'une mise à disposition  ou d'un stage ou insertion en milieu ordinaire,le CACES est le diplôme de réference :   Bravo à cet effet aux usagers de l'ESAT Gustave EIFFEL à ANDRESY (78) et à leur formateur Monsieur ROUET du CAC -FORMATIONS,pour la réussite de leur CACES de catégorie 3 cette semaine encore .

Quelques précisions sur la formation CACES:

En complément de cette formation CACES, la réglementation impose que les conducteurs soient titulaires d'une autorisation de conduite délivrée par le chef d'établissement (Arrêté du 2 décembre 1998). Tous les personnels et travailleurs d'ESAT ou Entreprises adaptées, utilisant ce type de matériel doivent obligatoirement être titulaires de l'autorisation de conduite ou du CACES correspondant après avoir suivi une formation CACES spécifique à chaque catégorie d'engins. La désignation d'un référent titulaire du CACES pour l'usager à former est obligatoire. C'est ce référent qui va évaluer les prérequis et faire les tests de mise en situation. Après l'aptitude médicale délivrée par le médecin du travail et, en présence de son référent, le stagiaire suit une formation CACES adaptée si nécessaire. L'évaluation théorique pourra se faire, par exemple, simplement à l'oral. La formation pratique sera complétée d'instructions particulières liées à la situation de handicap, par le référent.À l'issue de la formation CACES, l'ESAT ou l'entreprise adaptée délivre à l'usager en situation de handicap, une autorisation de conduite précisant, si nécessaire, les restrictions d'utilisation.La progression de l'usager est évaluée dans le temps par l'ESAT ou l'entreprise adaptée, à l'aide d'une grille d'évaluation et de progression dédiée. La validation de la progression est faite par un recyclage CACES tous les 5 ans.

Toutes nos formations CACES sont réalisables et adaptables aux personnes en situation de handicap...Consultez nous pour établir un projet de formation à destination de vos usagers.Nos formations adaptées sont toutes animées par des professionnels de la formation et du travail protégé:        ( Educateurs techniques Spécialisés ou équivalent)  :

              Notre site:  www.cac-formations.net 

             Nous écrire: secretariat@cac-formations.net

sources You Tube

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9 Juin 2019 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Accompagnement psychologique, #Accompagnement professionnel

sources la Vie

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