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5 Mai 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS

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Quel masque pour quelle protection?

4 Mai 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Blanchisserie, #H.AC.C.P Hygiène alimentaire, #Hygiène, #Hebergements pour adultes EPHAD Maintien à domicile

Les grandes lignes du plan de déconfinement ont été présentées ce mardi 28 avril à l’Assemblée par le Premier ministre Edouard Philippe. Le port du masque en tissu a notamment été évoquée, de même que son obligation dans certains lieux publics. Mais comment reconnaître un masque homologué, et s’assurer qu’il est vraiment efficace ? On vous éclaire.
 

Pour éviter une deuxième vague de l’épidémie après le déconfinement progressif, le port du masque dans les lieux publics semble indispensable. Le gouvernement souhaite le rendre obligatoire dans les transports, et l’adoption généralisée de cet accessoire est vivement recommandée de façon plus large, en complément des gestes barrières (lavage fréquent des mains, distanciation sociale, usage de mouchoirs à usage unique…).

Masque grand public : de quoi s’agit-il ?

La pénurie de masques chirurgicaux et FFP2, réservés au personnel soignant, a donc conduit à la naissance d’un nouveau type de protection : le masque “grand public”. Confectionnés en tissu, ces masques anti-postillons ont pour objectif de limiter la propagation du virus. Ils doivent pour cela être en mesure de filtrer 70 à 90 % des gouttelettes de salive émises par celui qui le porte.

 

De nombreux tutoriels sont disponibles sur Internet pour fabriquer soi-même son masque. À ce jour, il est recommandé de s’appuyer sur le document AFNOR Spec – Masques barrières pour les réaliser. C’est en effet sur ce modèle que s’est appuyée la cinquantaine d’entreprises françaises ayant alloué leur chaîne de production à la confection de ces protections, et qui ont d’ores et déjà reçu une homologation.

La DGA et l’IFTH testent les masques avant de les homologuer

Pour être homologués, les masques sont envoyés à la Direction générale de l’armement (DGA) et à l’Institut français du textile et de l’habillement (IFTH). Ces organismes ont mis en place un protocole de test, afin d’évaluer la perméabilité des masques, et d’estimer le nombre de lavages auxquels ils peuvent résister.

Dans ce diaporama, nous vous expliquons notamment comment reconnaître un masque homologué, et nous vous livrons quelques astuces pour vérifier son efficacité.

Masque grand public : obligatoire dans les transports ?

Au vu des récentes déclarations du gouvernement, il est peu probable que le port du masque soit rendu obligatoire dans tous les lieux publics. En revanche, “les transports sont un des cas où le port du masque pourra être obligatoire à compter du 11 mai” a indiqué le Premier ministre Edouard Philippe dans son allocution du 19 avril. “Nous sommes en train d'étudier les conditions dans lesquelles cela pourra être mis en œuvre”, a-t-il précisé.

Une mesure qui serait loin d’être suffisante, selon l’Académie nationale de médecine, qui recommande un port du masque généralisé à toute la population, dès lors qu’elle quitte son domicile.

Une mesure “impossible à appliquer” chez les jeunes enfants

Du côté des salles de classe, aucune position officielle n’a été adoptée par le gouvernement à l’heure où nous écrivons ces lignes. Le Conseil scientifique estime toutefois que “pour les collégiens/lycéens, pour lesquels la compréhension est bonne et l’éducation au port de masque est possible, le port de masque doit être obligatoire”.

 

Il reconnaît que cette mesure est, en revanche, “impossible” à appliquer en maternelle, et difficile à mettre en chez les élèves les plus jeunes du primaire. "Il est très compliqué de demander à un enfant de 10 ou 11 ans en école primaire de porter un masque toute la journée", a déclaré, de son côté, le ministre de la Santé, Olivier Véran au micro de France Inter.

sources Medi Site

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4 Mai 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #H.AC.C.P Hygiène alimentaire, #Hygiène, #Hebergements pour adultes EPHAD Maintien à domicile

Coronavirus : le vinaigre blanc peut-il vraiment désinfecter ?
 
Pour lutter contre la propagation du coronavirus, vous êtes nombreux à avoir pris conscience de l’importance des mesures d’hygiène. Particulièrement populaire, le vinaigre blanc est connu pour ses propriétés nettoyantes et antiseptiques naturelles. Mais est-il efficace pour neutraliser le coronavirus ? Réponse.
Coronavirus : le vinaigre blanc peut-il vraiment désinfecter ?

Neutraliser le coronavirus est devenu aujourd'hui l'obsession de nombreux Français. Gel hydroalcoolique, eau de Javel... Vous ne lésinez pas sur les moyens. Particulièrement populaire pour l'entretien de la maison, le vinaigre blanc est un nettoyant écologique, efficace pour entretenir poignets de portes, plans de travail, vaisselles, chaussures ou autres surfaces.

 

Le vinaigre blanc peut-il venir à bout du coronavirus ? Les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies apportent une réponse claire.

 

Le vinaigre blanc ne peut rien contre le coronavirus

"On ne sait pas avec certitude combien de temps le virus responsable de la COVID-19 survit sur les surfaces mais il semble qu’il se comporte comme les autres coronavirus, explique l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Les études (et les informations préliminaires sur la COVID-19) tendent à montrer que les coronavirus peuvent persister sur les surfaces quelques heures à plusieurs jours".

Il existe des désinfectants chimiques qui peuvent tuer le Covid-19 sur les surfaces, partage encore l'OMS. On mentionne notamment les désinfectants à base d'eau de Javel ou de chlore, de solvants, d'éthanol à 75 %, d'acide peracétique et de chloroforme.

Pour éliminer le virus, les produits ménagers doivent contenir au moins 70 % d'alcool

Si vous êtes nombreux à miser sur le vinaigre blanc lorsque vous récurez vos surfaces, il ne peut, hélas, rien contre le coronavirus, semble-t-il.

Pour éliminer le virus, les produits d’entretien doivent contenir "au moins 70% d’alcool", nous apprennent les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies. En outre, la Direction générale de la santé (DGS), interviewée par nos confrères de Franceinfo n'identifie "aucune situation où il est spécifiquement recommandé face à l’épidémie ".

Désinfectants : quelques mises en garde

Pour neutraliser le coronavirus, l’eau de Javel s'avère l'alternative idéale. "La Javel est un virucide, ce qui n'est pas le cas du vinaigre blanc. Même s'il y a d'autres produits détergents qui sont des désinfectants efficaces, autant recommander la Javel, qui est connue de tous", déclare la Direction générale de la santé.

Néanmoins, attention. Ce produit ménager ne doit pas être utilisé n'importe comment. Il peut provoquer des brûlures lorsqu'il entre en contact avec la peau. En outre, ses émanations peuvent causer maux de tête et nausées. Il est donc proscrit d'appliquer la Javel à outrance, et surtout pas sur la peau ou sur les denrées alimentaires.

sources MédiSite

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4 Mai 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Accompagnement professionnel, #Moniteurs d'ateliers, #CONDITIONNEMENT, #Hygiène, #Reconnaissance professionnelle

 

Coronavirus : ces travailleurs handicapés, nouveaux «héros» dans l'ombre des soignants

Une quarantaine d'usagers d'ESAT de région parisienne produisent chaque jour du matériel indispensable à la prise en charge de patients en réanimation. Rencontre.

Une salariée de Tech'Air au travail.
 

Si le personnel soignant, applaudi chaque soir à 20 heures par les Français, est en première ligne contre le coronavirus, d'autres héros apportent, à leur manière, une aide indispensable. Derrière les murs de l'ESAT (Établissements et services d'aide par le travail) des ateliers Tissonvilliers, à Villiers-le-Bel (Val-d'Oise), s'organise aussi la lutte contre le Covid-19. Tous les jours, une quarantaine de salariés en situation de handicap de l'entreprise Tech'Air - réquisitionnée par le ministère de la Santé - sont sur le pont, faisant fi des risques liés à la pandémie qui touche une grande partie de l'Europe.

 

Leur rôle sur le terrain est d'une importance cruciale : fabriquer en grande quantité des composants essentiels (capteurs, valves) aux respirateurs artificiels qui servent en service de réanimation. «Habituellement, nous avons environ 130 employés sur le site. Aujourd'hui, il y a une quarantaine de volontaires qui sont présents», relate au Figaro le directeur de l'ESAT , Henri-Aurélien Chopinaud. Tous ont des déficiences cognitives ou mentales. Très fier de ses troupes, il ne tarit pas d'éloges sur leur attitude «héroïque» : «Avec la lutte contre le coronavirus, ils se sentent vraiment utiles pour la société. Il y a un réel sentiment de fierté chez eux de jouer un rôle clé dans ce combat».

 

Loin du confinement de millions de Français, les employés de Tech'Air s'activent des heures durant dans les «salles blanches» (pièces où la concentration particulaire est maîtrisée afin de minimiser l'introduction de particules, NDLR). Équipés de blouses, de masques et de gants, ils soudent des fils larges comme un cheveu sur un dispositif d'aide respiratoire. Une technologie de pointe qui permet notamment à la machine de détecter si le patient respire, et en quelle quantité. Depuis le début de l'épidémie, le nombre de commande est passé de 400 par jour à plus de 2000. «Tout le monde est mobilisé pour honorer ces commandes. Mais nous ne devons pas jeter toutes nos forces dans la bataille d'un coup, nous devons nous économiser parce que cette situation risque de durer», tempère Henri-Aurélien Chopinaud.

«On est en deuxième ligne»

Un employé de Tech'Air.
Un employé de Tech'Air. Tech'Air.

Pour les valeureux soldats de Tech'Air, pas question, pourtant, de se ménager. Venir au travail en ces temps de confinement est une victoire en soi. Anne, 48 ans, est capable de produire entre 500 et 600 composants en une seule journée. «Je suis très fière de ce que je fais, indique-t-elle. C'est important parce que j'ai l'impression de contribuer à sauver des vies. Il n'y a rien de plus beau». Non loin d'elle, Philippe, 63 ans, ajoute, modeste : «On a besoin de nous, donc on répond présent». «On n'est pas en première ligne comme les soignants, mais on peut dire qu'on est, disons, en deuxième ligne», lâche-t-il néanmoins. Investi d'une mission d'intérêt public, il ne pouvait concevoir de rester chez lui confiné avec son épouse : «Je travaillerai tant que je peux parce que je me sens plus utile en aidant les hôpitaux que chez moi. Vous savez, nous aussi on est sur le front, on fait le maximum pour aider, mais les gens doivent de leur côté respecter les consignes du gouvernement».

 

Béatrice, 43 ans, est pour sa part fière de montrer à ses enfants les machines sur lesquelles elle travaille depuis plusieurs années à la télévision. «En ce moment, on les voit tout le temps. C'est une fierté. Je me dis qu'on contribue à sauver des vies. Et mes enfants me posent des questions sur mon travail maintenant», indique-t-elle dans un sourire. Pour le moment, le moral est bon. Le sentiment de participer à l'effort national fait tenir les troupes. Mais la cadence est infernale, et la crise risque de durer encore plusieurs semaines.

«On est un petit village gaulois. On tiendra le temps qu'on pourra», affirme Henri-Aurélien Chopinaud. Outre l'aide aux malades, qui se multiplie partout en France, ce dernier tire une autre fierté de cette situation : «Nous montrons à tous que ce sont des personnes en situation de handicap qui prennent soin des Français. La solidarité est l'affaire de tous».

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Redémarrage des activité formations à partir du 11 mai 2020

4 Mai 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS

Un centre de formation continue pour les étudiants et personnels de santé, le 5 février 2020, à Amiens (Somme).
Un centre de formation continue pour les étudiants et personnels de santé, le 5 février 2020, à Amiens (Somme). (MAXPPP)

 

Les activités de formation continue redémarrent  au CAC FORMATIONS le 11 Mai 2020. Toute la filière formation ,pour les stages Inter comme Intra est concernée...C'est ce qu'a annoncé Muriel Pénicaud dans un communiqué, lundi 4 mai. La ministre salue d'ailleurs "la réactivité des organismes de formation, qui ont su développer des formations à distance pendant toute la période de confinement" lié à l'épidémie de Covid-19. Rendez vous le 05 Mai pour l'édition des bonnes pratiques barrières ,par le ministère.

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1 Mai 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Accompagnement professionnel, #Moniteurs d'ateliers, #Espaces Verts, #BATIMENT

Découvrez l'Atelier Chantier d'Insertion ASFODEL situé à Saint-Hilaire-de-Riez (85). C'est à travers le support d'activité : Entretien des espaces verts, des espaces naturels que l'association accompagne les salariés en parcours vers un retour à l'emploi, une formation... Un clip,mais aussi une entreprise pleine d'énergies.. créatives... Reportage...

sources You Tube

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