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Handicap,ce qui a changé depuis 2019...

4 Avril 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Accompagnement psychologique, #Hebergements pour adultes EPHAD Maintien à domicile, #Handicap, #Moniteurs d'ateliers

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Handicap et Emploi c'est possible

3 Avril 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS

le travail protégé...une histoire passionnante... Nos pensées  aussi aux usagers en ces temps de confinement.

sources You tube

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Hygiène HACCP en Restauration

27 Mars 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #H.AC.C.P Hygiène alimentaire, #Restauration, #Moniteurs d'ateliers

 

La démarche HACCP est une analyse des points critiques et des dangers qu’il faut maîtriser avec de nombreuses étapes afin de pouvoir contrôler l’hygiène dans un établissement. En principe, le processus vise à utiliser des mesures préventives, à faire un contrôle au quotidien et à impliquer les équipes dans les différentes tâches. À présent, cette méthode touche les professionnels de la restauration collective en appliquant les normes dans leurs sociétés.

 

La solution HACCP en restauration

 

Pour assurer la santé des consommateurs, l’hygiène alimentaire se doit d’être irréprochable, surtout quand on parle des enfants et des proches qui mangent dans des restaurations collectives. En effet, la restauration collective réclame un traitement différent concernant les aliments. Ces derniers sont reçus brutes puis transformer, cuisiner, et enfin distribuer par les agents. Ainsi, la préparation et le transport devront être effectués dans les meilleures conditions, notamment suivant les normes HACCP.

Sachant que les bactéries, les germes, les microbes, les allergènes et les moisissures se trouvent constamment dans les aliments, l’objectif est donc d’offrir une meilleure hygiène pour les produits. S’ils viennent à se multiplier, ces bactéries peuvent provoquer des maladies graves et même entraîner la mort. Conscient de ces risques, la réglementation impose le suivi d’une hygiène alimentaire et voir fiche d’angle pour les responsables de la restauration collective.

 

Comment se présentent les procédures HACCP pour l’hygiène alimentaire ?

 

 

Pour favoriser l’application des démarches d’un plan de maîtrise sanitaire, l’État a mis en place des textes de loi spécifiques à chaque processus. Afin d’optimiser l’hygiène alimentaire des consommateurs, les responsables se trouvent dans l’obligation d’assurer l’exécution des normes via une check-list. Toutefois, chacune des démarches se concentre sur l’identification des dangers et des risques en termes de sécurité alimentaire.

 

Les bonnes pratiques HACCP

 

Pour pouvoir certifier une sécurité alimentaire dans un établissement de restauration collective, les responsables doivent suivre des règles strictes. Quand on manipule des denrées alimentaires, il faut se baser sur quatre éléments clés : le stockage, le respect de la nature de chaîne (froid ou chaud), le suivi des températures, le processus de nettoyage et de désinfection des lieux.

 

Le diagnostic d’hygiène alimentaire

 

Si vous êtes à la recherche d’une hygiène alimentaire irréprochable pour votre établissement, vous devez vous assurer d’avoir effectué les points suivants :

  • identifier le secteur qui a besoin d’une mesure corrective ;
  • déterminer les mesures à faire dans un cahier de charges ;
  • mettre à jour les informations contenues pour avoir constamment une référence.

 

L’hygiène du personnel, un critère à ne pas négliger

 

L’un des éléments les plus importants dans la procédure HACCP, c’est l’hygiène que doit avoir le personnel. En général, ce sont les personnes qui transportent les maladies, les bactéries et les agents pathogènes. Étant donné que c’est le personnel qui manipule les denrées alimentaires jusqu’à leur cuisson et leur distribution, il doit être équipé des bons matériels.

Vous devez être strictes sur le port des équipements de travail avant le traitement des aliments. Chaussure, charlotte, gants et blouse font partie des équipements minimums à avoir. Pour ce faire, l’entreprise devra aménager un vestiaire destiné uniquement aux personnels. D’un autre côté, le personnel de la restauration collective devra suivre une formation HACCP et être sensibilisé  aux risques biologiques. Avoir une maîtrise des démarches HACCP, puis connaître la culture en sécurité alimentaire, en désinfection et en nettoyage sont essentiels pour le personnel.

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80% de travailleurs handicapés dans une entreprise de Poitiers

26 Mars 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Espaces Verts, #Accompagnement professionnel, #Moniteurs d'ateliers

Les entreprises adaptées permettent aux personnes handicapées de trouver du travail'est le cas dans cette société installée à Poitiers. Reportage de Jérôme Vilain, Thomas Chapuzot et Christophe Pougeas Intervenants : Patrice Caillaud, directeur général de STS, Alexis Villneuve, salarié chez STS et Frédéric Laville, directeur AFTRAL Poitiers, client de STS reportage...

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Trisomie 21 : dans les cuisines du restaurant "Un petit truc en plus"

26 Mars 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Accompagnement professionnel, #Accompagnement psychologique, #Moniteurs d'ateliers, #H.AC.C.P Hygiène alimentaire, #Restauration

C’est parti pour la phase test, avant son ouverture en septembre, place de la Paix. Le restaurant « Un Petit truc en plus » va employer, en salle comme en cuisine, cinq salariés porteurs d’une trisomie 21. M+ vous entraîne dans les coulisses de cette aventure humaine unique dans le Grand Est, initiée par le Centre de réadaptation de Mulhouse.Reportage..

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Covid 19 et A.A.H dossiers en cours:Les mesures de maintien

25 Mars 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS

 

La secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Santé, Christelle Dubos, se veut « très claire ». Dans une vidéo datée du 20 mars 2020 au matin, mise en ligne sur son compte Twitter, elle annonce le maintien des aides sociales (prime d'activité, AAH, RSA, RSO…) qui seront versées automatiquement par les CAF et la MSA pour le régime agricole (lire ci-dessous). La ministre dit « vouloir rassurer les personnes qui s'inquiètent », notamment « celles qui n'ont pas accès à internet et ne peuvent pas faire leur déclaration trimestrielle », « toutes les prestations seront versées automatiquement sans rupture de droit ». Mesure confirmée par le gouvernement dans un communiqué, ces dispositions devant être « votées en application du Projet de loi d'urgence présenté au Parlement cette semaine ». Ce dispositif mis en place par les CAF permettra la continuité des droits pour celles et ceux qui en ont besoin.

Prorogations en fin de droits

Par ailleurs, les droits à l'allocation adulte handicapé (AAH) et à l'allocation d'éducation de l'enfant handicapé (AEEH) qui arriveraient à échéance seront automatiquement prorogés de six mois. De la même manière, les droits à la complémentaire santé solidaire et de l'aide au paiement d'une assurance complémentaire de santé dont le bénéfice expirera au cours des prochains mois seront prolongés de 3 mois. Quant aux aides au logement, elles seront automatiquement maintenues. La CNAF (caisse nationale d'allocations familiales) assure qu'elle ne « manquera pas d'informer l'ensemble de ses allocataires sur cette disposition importante dans les prochaines heures ».

 
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Autisme et coronavirus : "La crise sanitaire actuelle fait apparaître l’étendue des dégâts"

24 Mars 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Accompagnement professionnel, #Accompagnement psychologique, #Moniteurs d'ateliers, #Handicap, #Hebergements pour adultes EPHAD Maintien à domicile

Le confinement imposé dans le cadre de l’épidémie de coronavirus impacte fortement le quotidien des personnes autistes et de leurs familles. Danièle Langloys, présidente de l’association Autisme France tire la sonnette d’alarme à l’occasion de la journée mondiale de sensibilisation à l'autisme, ce jeudi 2 avril:

 

Emmanuel Macron annonce un aménagement des règles de confinement pour les personnes autistes. Ils vont être autorisés à sortir "un peu plus souvent", pour se rendre sur les lieux habituellement fréquentés, "porteurs de repères rassurants". À l'occasion de la Journée mondiale de sensibilisation à l'autisme, le chef de l'Etat a adressé un message vidéo aux autistes et à leurs accompagnants, qui connaissent une période "difficile" avec la crise du coronavirus. Un formulaire d'attestation sera adapté spécialement pour eux et leurs accompagnants.

L'inquiétude des associations et des personnels médico-sociaux grandit face aux conséquences dramatiques de l’épidémie de coronavirus pour les personnes autistes et leurs proches. En France, l'autisme est reconnu comme un handicap depuis 1996 et concerne environ 700 000 personnes souffrent de ce que l’on appelle un trouble du spectre de l’autisme (TSA). Près de 30% d’entre elles présentent une forme sévère de cette pathologie et nécessitent une prise en charge quotidienne. 

"La crise sanitaire actuelle fait apparaître de manière flagrante ce que l'on ne sait toujours pas faire, ou qu’on fait à minima. On mesure l’étendue des dégâts. En particulier en ce qui concerne l’aide aux plus démunis". À l’occasion de la journée mondiale de sensibilisation à l’autisme, ce jeudi 2 avril, Danièle Langloys, présidente de l’association Autisme France souhaite lever le voile sur la situation intenable dans laquelle se trouvent actuellement certaines familles. 

L’autisme, un trouble complexe

"Le trouble du spectre de l’autisme (TSA) est un trouble neurodéveloppemental précoce qui affecte la construction du cerveau, vraisemblablement in utero. Il se manifeste par des difficultés d’interaction et de communication sociale plus ou moins sévères, une tendance à la répétition de comportements ou de discours, un répertoire d’intérêts restreints et stéréotypés ainsi qu’une résistance au changement. Le diagnostic est fondé sur des observations clinique et comportementale. Il est fiable à partir de 18 mois.

Le spectre de l’autisme comporte différents degrés de sévérité, déterminés en fonction du besoin d'assistance. Une personne qui se situe dans le haut du spectre de l’autisme peut avoir besoin d’une aide psychologique ou sociale pour mieux comprendre son environnement, mais rester indépendante et travailler ou avoir une famille. En revanche, à l’autre bout du spectre, on retrouve des personnes très dépendantes qui souffrent d’une forme d'autisme sévère, en général associée à d’autres troubles qui peuvent être cumulatifs : trouble du développement intellectuel, épilepsie , trouble de l’attention avec ou sans hyperactivité, dyspraxie , troubles anxieux, troubles alimentaires ou troubles du sommeil."

A lire aussi :
Quel pourrait être l'impact de la crise du COVID-19 sur la santé mentale des enfants?

Le confinement impacte particulièrement les personnes autistes

"Les conséquences de cette crise sanitaire diffèrent en fonction de la sévérité du trouble autistique. Les personnes autistes ont beaucoup de mal à appréhender leur environnement et à s’y faire accepter, quel que soit leur niveau de compétences cognitives. Toute perte de repère ou changement d’habitude peut donc être source de stress ou de colère. Sans compter que les personnes autistes sont très anxieuses et font parfois des dépressions sévères. Le confinement pourrait accroître leur sentiment d’angoisse et de frustration

Cette situation induit aussi des difficultés de prise en charge et complique la poursuite des soins essentiels au bien-être des autistes les plus sévères. Cela met potentiellement en danger leur santé, ainsi que celle de leurs familles. Les autistes sévères ont besoin de se défouler et ne comprennent pas la distanciation sociale, donc le port du masque. Cela peut les perturber, les effrayer."

Des risques sanitaires accrus

"Les consignes du gouvernement sont de favoriser le maintien à domicile des personnes en situation de handicap. En principe, les internats qui fonctionnent à temps complet pour les enfants et les adultes sont toujours ouverts, ainsi que les Établissements spécialisés d’aide par le travail (Esat). Par mesure de précaution, les sorties y sont suspendues jusqu'à nouvel ordre et les visites interdites (sauf autorisation exceptionnelle). Mais en réalité, certains de ces établissements ont fermé pour protéger patients et soignants. Les externats, eux, sont fermés mais tenus de maintenir un service minimum d'assistance aux familles.

En effet, qu’elles soient confinées dans des structures spécialisées, ou encadrées par leur famille, les personnes autistes sont exposées comme tout le monde au risque de contamination directe ou environnementale. Le virus ne s’arrête pas aux portes des établissements et des foyers.

 

Malheureusement, dans le contexte actuel, les professionnels du médico-social ne sont pas prioritaires pour bénéficier de stocks de masques, de gants ou de blouses. Cela pose un problème dans les internats encore ouverts, car si les personnes autistes y sont confinées, leurs encadrants, eux, ne le sont pas systématiquement. De même, l’accompagnement à domicile pour soutenir les familles est quasi-impossible :  sans protection, le risque de contamination pour la personne autiste, la famille et le professionnel est trop important."

La détresse des familles

"Du fait de la fermeture de certaines structures médico-sociales, les familles ont du accueillir leur enfant à la maison. D'autres ont fait le choix de retirer leur enfant de l'internat juste avant le confinement. Dans des conditions dramatiques : la continuité des soins n’est pas toujours assurée, et les familles doivent réapprendre à vivre avec leur enfant au quotidien. Elles doivent assurer les soins, l’assister pour ses besoins élémentaires, assurer la scolarisation à domicile, gérer les crises et les conflits éventuels... Très souvent ce sont d’ailleurs des femmes seules qui gèrent des adolescents ou de jeunes adultes.

Sans le soutien d’un éducateur spécialisé, d’un psychologue, d'un pédopsychiatre ou d'un accompagnateur de vie scolaire, les proches doivent s'improviser enseignants, éducateurs, psychomotriciens…. Ils sont parfois confrontés à des enfants, des adolescents, des adultes qui ne parlent pas, qui ne sont pas propres, et sont parfois violents. C’est ingérable. D’autant qu’on peut avoir plusieurs enfants autistes… Le manque de solutions de répit va accroître l’épuisement des familles qui appellent déjà au secours."

 

 

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Covid 19 Modalites d''accueil dans les établissements médico-sociaux

24 Mars 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS

 
 
 

 

Voilà plusieurs jours que la population française est confinée. De nombreuses inquiétudes et interrogations émergent notamment de la part des personnes handicapées et de leurs proches. Pour les centraliser, le Comité interministériel du handicap (CIH) a mis en place une foire aux questions (FAQ) et s'engage à apporter quotidiennement des réponses pratiques pour « les protéger et les accompagner au mieux » ,que nous vous invitons à découvrir:

• Pendant la durée du confinement, toute nouvelle admission en structure médico-sociale est-elle suspendue ?

Si aucune nouvelle admission ne peut être faite en externat, la règle est différente pour les internats où il est admis le principe :

  • d'une nouvelle admission en urgence, du fait de l'hospitalisation d'un aidant ou des risques pris à laisser en confinement une personne au domicile de l'aidant qui ne fait plus face à la charge de l'accompagnement ;
  • d'un retour après hospitalisation d'un résident, afin de ne pas surcharger l'activité hospitalière, si le retour chez un proche aidant n'est pas envisageable.

Dans tous les cas, l'admission ou le retour dans la structure d'un résident doivent s'accompagner d'une période totale de confinement en chambre individuelle de 14 jours, avec surveillance médicale rapprochée à l'entrée et à chaque jour du confinement.

• Est-ce que mon proche accueilli en structure médico-sociale avec hébergement y sera confiné pendant 45 jours ?

A ce jour, la durée de confinement, annoncée le 16 mars 2020 par le Président de la République, est de 15 jours renouvelable.

• Comment joindre l'établissement et le service médico-social qui accompagne habituellement mon proche ?

Chaque direction met en place un numéro d'astreinte joignable 7 jours sur 7 à l'attention de l'autorité de tutelle et des familles. Chaque direction a la responsabilité de donner l'information expresse aux personnes et aux familles du numéro qui peut être joint à tout moment en cas de difficulté. Il appartient à chaque organisme gestionnaire d'organiser les modalités de mise en place de l'astreinte (possibilité d'une première ligne et d'une seconde ligne) et de susciter le cas échéant une coopération entre opérateurs pour un numéro d'appel unique à l'attention des personnes et des familles.

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