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13 Décembre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Restauration, #société, #Vie Sociale

Benjamin, malvoyant, employé dans les cuisines du Ritz

Résumé : Benjamin, 52 ans, malvoyant, travaille dans les cuisines du Ritz. Il a reçu la visite de Sophie Cluzel, secrétaire d'Etat en charge du handicap, qui salue l'implication de cet établissement légendaire. Lorsque handicap et prestige font bon ménage.

Par , le 

Le Ritz. Palace éminemment sélect avec des clients triés sur le volet. Mais qu'en est-il du côté des employés ? Ils sont plus de 600 à œuvrer pour l'excellence à la française. Parmi eux, Benjamin Ebaah. Il officie dans les cuisines du self destiné au personnel avec une particularité, il est malvoyant, au point de voir difficilement à plus d'un mètre. Il s'est posé la question : « Moi, handicapé, je peux travailler dans un hôtel aussi prestigieux ? ».

Un parcours semé d'embuches

A 52 ans, ce commis de cuisine originaire du Cameroun s'affaire sans que son handicap ne soit vraiment perceptible, si ce n'est ses lunettes qui éclaircissent la vue ou le recours, parfois, à une loupe électronique. Il a commencé à perdre la vue il y a près de trente ans mais a dû attendre son arrivée en France, en 2004, pour poser un diagnostic sur le mal qui le rongeait doucement et risquait de le mener à la cécité : la maladie de Stargardt. Il a quelques difficultés pour programmer le four ; pas facile de distinguer, sur l'écran, les heures et les secondes. « Il me faut encore un peu de temps pour trouver la bonne fonction et la bonne température », confie Benjamin. Il fut tour à tour vérificateur de produits, magasinier, agent dans une société de nettoyage avant que son handicap ne l'oblige à renoncer à chacun de ses emplois.

Via l'école hôtelière

Il n'avait jamais travaillé dans la restauration mais, avec l'appui du syndicat de l'hôtellerie, GNI-Synhorcat et Cap emploi, il obtient une formation au sein de l'Ecole hôtelière de Paris-CFA Médéric, qui se dit « mobilisée sur les enjeux de société contemporains tels que l'insertion des jeunes en situation de handicap » ; lors du CIH (Comité interministériel du handicap) du 20 septembre 2017, la brigade qui avait assuré le service à Matignon comptait dans ses rangs plusieurs recrues handicapées (article en lien ci-dessous). Floriane Drebel, responsable ressources humaines du Ritz, assure que le secteur de l'hôtellerie embauche un grand nombre de personnes en situation de handicap via ses CFA (centre de formation des apprentis), proposant une grande diversité de métiers.

Priorité au sourire

A l'issue de sa formation, Benjamin passe plusieurs entretiens dans de grands hôtels parisiens et choisit le Ritz qu'il intègre en décembre 2016. En moins d'un an, sous la houlette du cuisinier, il prend ses marques. Ses collègues le définissent comme un « gros bosseur », se disent « heureux de travailler à ses côtés » et assurent qu'il « est autonome et se débrouille très bien ». Pour assurer un service de près de 1 200 couverts par jour, ses employeurs privilégient certains atouts lors du recrutement : « Ce ne sont pas forcément les compétences professionnelles qui priment mais un sourire agréable et de la bonne humeur. »

La ministre en cuisine

Le 16 novembre 2017, Benjamin reçoit, après le coup de feu, une visite un peu particulière, celle de Sophie Cluzel. La secrétaire d'Etat en charge du Handicap a découvert son portrait dans un magazine et souhaité le rencontrer. En pleine Semaine européenne des personnes handicapées (SEEPH), ce parcours est une aubaine pour convaincre que le handicap n'empêche pas d'accéder à l'excellence. « C'est le type d'exemple qui peut donner aux équipes et aux employeurs l'envie de se lancer », déclare Sophie Cluzel. 

Une permanence handicap

Le Ritz compte, pour le moment, dans ses rangs, 17 salariés en situation de handicap. Après quatre ans de rénovation, le palace a rouvert ses portes il y a un an et promet de mieux faire dans ce domaine, aussi bien en termes d'embauche que de maintien dans l'emploi… Ce jour-là, une permanence à l'intention des salariés touchés par un handicap se tient dans les dédales de son sous-sol. Les initiateurs de Th Partners accueillent toute l'après-midi cuisiniers, femmes de chambre, agents d'entretien pour les informer sur le statut de travailleur handicapé et les avantages qu'ils peuvent en tirer. « Dès notre réouverture, cela a fait partie de nos projets et nous avons mis cette politique en route. Cela nous tient à cœur de dédramatiser le terme tabou de 'handicap' et d'accompagner tous nos collaborateurs, même si certains préfèrent encore rester discrets », confie Floriane Drebel. Et lorsqu'on lui demande si, un jour, on peut imaginer des personnes par exemple trisomiques au contact direct de la clientèle, elle répond : « Pourquoi pas ?

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Inclusion...

12 Décembre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Reconnaissance professionnelle, #société

Depuis 2007, Isabelle travaille à l'ESAT de Jean Genèze de Pau des PEP 64. L'établissement lui assure un environnement stable en même temps qu'il lui garantit une certaine indépendance pour asseoir ses perspectives d'émancipation.

sources You tube

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Qualité en Restauration collective: Un besoin accru de formation pour les professionnels du secteur

4 Décembre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Hebergements pour adultes EPHAD Maintien à domicile, #Restauration, #Vie Sociale, #Reconnaissance professionnelle

des formations Cuisine,Nutrition,diététique adaptées aux besoins en direct sur votre établissement :www:cac-formations.net
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La cidrerie artisanale de l'entreprise adapté à Chamberet

4 Décembre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Entreprise adaptée

L'entreprise adaptée de l'Avehc à Chamberet a repris une cidrerie en 2010. Il s'agit d'une activité originale pour ce type d'entreprise, mais c'est aussi une activité qui a permis de remettre au gout du jour la Blandurette, une variété de pomme qu'on ne trouve que dans quelques cantons de Corrèze.

Sources de diffusion You Tube

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Recettes pédagogiques vues par un Moniteur d'atelier....

3 Décembre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Reconnaissance professionnelle, #société

Recettes pédagogiques vues par un Moniteur d'atelier...futur retraité...

Former ou aider une personne adulte à se former repose sur deux activités ,expérience que j'ai pu découvrir sur le terrain depuis 25 années passées en ma qualité de Moniteur d'atelier:

  • l’accompagnement de la personne dans son parcours,
  • la mise en place de situations d’apprentissage.

Pour ce faire après 25 années passées comme Moniteur d'atelier et formateur pour adultes ,je défini la pédagogie sur 6 grands principes :

  1. Pour apprendre, le stagiaire doit prendre conscience de son besoin d’évoluer.
  2. Le stagiaire est responsable de sa formation ; il ne peut être considéré comme « récepteur passif ».,mais acteur de son propre devenir...essentiel...
  3. En tant qu’adulte en formation, le stagiaire a accumulé une certaine expérience, qui constitue sa meilleure ressource d’apprentissage.
  4. La volonté d’apprendre du stagiaire adulte se manifeste dans le cadre de situations réelles. du concret vers l'abstrait... N'aborder q'un élement abstrait ( calcul, méthodes de travail,outils..) que quand on en a besoin...
  5. L’apprentissage du stagiaire adulte doit apporter une solution à un problème qui se pose à lui. Créer le centre d'intérêt.... apprendre pour apprendre n'intéresse personne...
  6. Les motivations pour apprendre sont liées au besoin de développement personnel.Par pitié une seule difficulté à la fois.... d'oû l'intérêt d'une progression pédagogique construite et préparée par le formateur..

Pour concrétiser ces 6 principes, après être passé par l'AFPA (C.P.T.A de TOULOUSE en 1987) j'ai toujours apprécié l’approche par compétences qui s’appuie sur une pédagogie active:

Celle-ci privilégie l’apprentissage par l’action basé sur des activités concrètes, correspondant aux besoins des personnes :

Créer le climat de confiance, puis créer le centre d'intérêt.. ..du concret vers l'abstrait...établir une progression pédagogique des difficultes... et transformer l'essai en réussite... je ne m'en lasse jamais...Alors à l'aube d'une retraite qui s'approche ...Moi le petit menuisier, avec son simple C.A.P,je voulais simplement remerciez la chance d'avoir fait cette rencontre avec le Travail protégé... Encore merci aux usagers pour tout ce qu'ils m'ont appris!

Roland Menuisier et Moniteur d'Atelier ....

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29 Novembre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Reconnaissance professionnelle, #Handicap, #Hebergements pour adultes EPHAD Maintien à domicile

des formations adaptées à la prise en charge psychique en ateliers:  www.cac-formations.net
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handicap invisible et travail

27 Novembre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Reconnaissance professionnelle, #société

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Le CPF c'est aussi pour les travailleurs handicapés en ESAT

27 Novembre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Reconnaissance professionnelle, #société, #Vie Sociale

e CPF c'est aussi pour  les travailleurs handicapés en ESAT

Nouveauté depuis 2017, CPF accessible pour les travailleurs handicapés!

Principe posé par la loi du 5 mars 2014 mais mise en œuvre grâce à la loi « Travail » du 8 août 2016. Le travailleur handicapé en ESAT bénéficie d’un CPF et commence à acquérir des heures à compter du 1er janvier 2017. 

  

Principe posé par la loi du 5 mars 2014 mais mise en œuvre grâce à la loi « Travail » du 8 août 2016.

Le travailleur handicapé en ESAT bénéficie d’un CPF et commence à acquérir des heures à compter du 1er janvier 2017. 

ALIMENTATION

  • 24 heures / année d’admission dans un ESAT jusqu’à l’acquisition d’un crédit de 120 heures
  •  Puis 12 heures / année d’admission dans un ESAT, dans la limite d’un plafond total de 150 heures

ACQUISITION IDENTIQUE POUR LE TRAVAILLEUR À TEMPS PLEIN OU À TEMPS PARTIEL MÊMES MODALITÉS QUE CELLES DES SALARIÉS

MOBILISATION

  • Par son titulaire ou son représentant légal;
  • Pour suivre, à son initiative et avec son accord, une formation éligible au
  • CPF : nécessité de l’accord préalable de l’ESAT sur le contenu et le calendrier de la formation
  • Maintien pendant la durée de la formation de la rémunération garantie et de la protection sociale.
  • Les formations éligibles au CPF TH sont les mêmes que celles des salariés (article L.6323-6 du Code du Travail)

FINANCEMENT

L’ ESAT verse à l’OPCA une contribution = 0,2 % assise sur l’assiette forfaitaire constituée de :

  • La fraction de la rémunération garantie versée aux travailleurs handicapés et financée par l’ESAT
  • La moitié de l’aide au poste perçue par l’ESAT au titre de chaque travailleur handicapé

La première contribution CPF TH concerne la masse salariale de l’année 2017, à percevoir au plus tard le 28 février 2018

  • Prise en charge des frais de formation par l’OPCA dont relève l’ESAT
  • Abondements possibles : OPCA, Régions,  Agefiph,  Pôle emploi, ESAT 
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La fin du stress au travail :

26 Novembre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #social, #Reconnaissance professionnelle

Vivolta vous présente les bureaux de Google France où travail rime avec plaisir ! Détente, bien-être, relaxation, tout est mis à disposition des salariés pour qu'ils se sentent bien et donc qu'il travaillent mieux..

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Avenir des professionnels ,réforme de la formation des travailleurs sociaux:

25 Novembre 2017 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Reconnaissance professionnelle, #société

La disparition annoncée des éducateurs, des assistantes sociales, des conseillères en économie sociale et familiale…

La Commission Professionnelle Consultative du travail social et de l’intervention sociale vient de produire un document considéré comme un point d’étape sur la réflexion menée en vue de réformer la formation des travailleurs sociaux. Si certains aspects de la réflexion sont particulièrement intéressants d’autres interrogent l’avenir de leurs professions qui sont tout simplement appelées à disparaître. Fini donc l’assistante sociale, l’éducateur ou la conseillère en ESF. Exit également l’éducateur technique spécialisé et l’éducatrice de jeunes  enfants.   Selon ces préconisations, il n’y aurait plus qu’un seul travailleur social dont la profession serait définie par le niveau d’études et la spécialité dans laquelle il se serait positionné. 

Cette « révolution » dans le travail social est en marche et l’on on voit mal comment elle pourrait être arrêtée, bien que celle ci appelle à plusieurs commentaires.

La disparition des professions dites « canoniques » (c’est à dire remontant à seulement quelques décennies) risque fort de diluer les spécialisations structurantes qui se sont opérées au fil du temps. Pour construire une maison, au delà de sa conception et de l’évaluation finale à la remise des clefs, il faut faire appel à de multiples corps de métiers tels le maçon, le charpentier, l’électricien, le couvreur etc. Pour la construction de notre maison commune, celle du travail social, terme généraliste qui recouvre une multitude de domaines, les professions généralistes de domaines précis vont s’effacer pour laisser place à des métiers généralistes qui avec 10% de temps alloué à une spécialisation lors de la formation initiale devront être en capacité d’agir de façon efficace dans des domaines .

Cette nouvelle forme de professionnalisation n’est pas sans avantage nous explique la CPC : Elle renforcera le sentiment d’appartenance à un même corpus professionnel des milliers de travailleurs sociaux qui interviennent actuellement avec des diplômes très divers notamment dans les niveaux IV et V. Pour les actuels niveaux III, nous aurons d’un coté les CESF et assistantes sociales positionnées dans le champ de « l’aide et le développement social » et de l’autre les éducateurs spécialisés, les éducatrices jeunes enfants et les éducateurs techniques spécialisés qui seront dans le champ de « l’action éducative ».

La démonstration ainsi faite est surtout une proposition à sens unique : elle ne veut surtout pas tenir compte des professions existantes au point même d’en oublier que des définitions officielles les concernant existent et que ce sont elles qui ont structuré (avec les formateurs) des pratiques professionnelles innovantes tout en promotionnant des méthodologies spécifiques. Qu’à cela ne tienne. Que ces professions publient des revues et ouvrages techniques qui contribuent à la connaissance sur le travail social tant d’un point de vue théorique que pratique n’a aucune importance. Selon la CPC cela n’existe même pas.

Nous aurons alors à faire avec un intitulé générique de diplôme par niveau (par exemple : auxiliaire/assistant en travail social pour le niveau V, technicien/intervenant en travail social pour le niveau IV, expert en travail social niveau III, management/ingénierie en travail social niveau II….) Seront nous demain des techniciens ou des experts ? Qui sera dans la relation d’aide aux personnes? les futurs professionnels de niveaux II ? sans doute pas. Pas sûr que les personnes aidées s’y retrouvent vraiment…

Nos professions seront donc définies par des niveaux de compétence et non plus par leurs professions qui pendant toutes ces décennies ont construit le travail social. La CPC raye cette réalité d’un coup de crayon. Pire même, elle réécrit l’histoire du travail social en ne retenant que ce qui l’arrange et évite soigneusement tout ce qu’a construit nos professions au fil des années. C’est simple, nos identités professionnelles actuelles existent tellement peu pour la CPC que demain elles seront remplacées par une autre identité sans que cela ne semble géner qui que ce soit.

Cette affaire aura aussi surtout l’avantage de permettre de réaliser de substantielles économies. Pensez donc : un seul projet pédagogique pour 5 professions différentes réunies en une seule pour l’actuel niveau III. Elle n’est pas belle la vie ?

Vous noterez aussi que la CPC propose 4 principes sur lesquels nous ne pouvons qu’être en accord :

 » Le caractère générique des diplômes. Un diplôme permet d’exercer dans tous les secteurs d’activité concernés par les compétences qu’il atteste. Les diplômes ne sont pas référés à un public ciblé, à un secteur d’activité ou un territoire délimités, à une politique publique, ou à des dispositifs.

Le caractère national des diplômes. Les diplômes d’Etat sont construits sur la base de référentiels professionnels, de certification et de formation élaborés au niveau national.

Le caractère professionnel des diplômes, ce qui induit la valorisation du niveau de qualification par l’enregistrement au RNCP et un objectif d’insertion dans l’emploi. La possibilité de poursuite ou de reprise d’études, dans la « filière travail social » ou dans un parcours universitaire, doit être facilitée. Dans cette perspective, pour les diplômes post baccalauréat, la correspondance avec les grades universitaires (LMD) doit se concrétiser.

L’alternance intégrative comme modalité d’acquisition des compétences, sans réduire cette notion à la seule formule de « stage sur site », mais en conservant dans la structuration de la formation, une interaction primordiale entre acquisitions en centre et acquisitions sur le terrain » des reformes  à suivre!

  sources DGCS

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