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Un restaurant pas comme les autres...

2 Avril 2018 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Reconnaissance professionnelle, #société, #Vie Sociale

Un restaurant pas comme les autres
 Le Reflet est un projet de restaurant gourmand, situé à deux pas du centre ville de Nantes. Plus qu'un restaurant : un lieu de partage, un véritable voyage culinaire et humain ! reportage...
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REFORME DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE

28 Mars 2018 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Reconnaissance professionnelle, #société, #Vie Sociale, #Certifications & VAE

La ministre du Travail Muriel Pénicaud souhaite que les droits versés au compte personnel de formation détenu par tout salarié ou demandeurs d'emploi soient renforcés.
La ministre du Travail Muriel Pénicaud souhaite que les droits versés au compte personnel de formation détenu par tout salarié ou demandeurs d'emploi soient renforcés. (Crédits : Reuters)
La réforme de la formation professionnelle plonge les Français dans l'inconnu selon la dernière enquête d'opinion exclusive BVA/La Tribune. Seuls 17% des interrogés ont déclaré savoir en quoi consiste le projet contre 55% qui ne voient pas précisément ce dont il s'agit. La ministre du Travail va devoir faire oeuvre de pédagogie.

La multiplication des réformes ne joue pas en faveur du gouvernement. Alors que la ministre du Travail Muriel Pénicaud a présenté les grandes lignes du nouveau dispositif de la formation professionnelle le 5 mars dernier, beaucoup de Français ignorent encore les grands axes du projet de l'exécutif selon la dernière enquête mensuelle d'opinion BVA/La Tribune sur "les questions de l'économie."

 

Manque de pédagogie?

72% des répondants ont déclaré à l'institut de sondages qu'ils avaient entendu parler du projet de réforme de la formation professionnelle, 26% des Français ignorent totalement l'existence de cette réforme et 2% ne se sont pas prononcés. En revanche, les résultats indiquent que le gouvernement devra faire preuve de pédagogie dans les semaines à venir. En effet, seuls 17% des Français déclarent voir en quoi il consiste contre 55% qui ne voient pas précisément ce dont il s'agit. Des chiffres qui peuvent inquiéter sachant que cette réforme va avoir des conséquences sur la vie professionnelle de millions d'actifs.

Au niveau des profils, il existe de fortes disparités. La notoriété du projet de réforme est plus importante chez les plus de 50 ans (83%) et les cadres (73%), que chez les moins de 50 ans (62%) et chez les employés et ouvriers (65%). Sur le plan politique, là encore les résultats présentent quelques contrastes.

"La notoriété du projet annoncé par Muriel Pénicaud est légèrement plus importante chez les sympathisants des Républicains (89%) et du Parti socialiste (81%) que chez ceux de LREM (75%) alors que les sympathisants FN (62%) et LFI (61%) se situent en retrait."

Le système actuel très critiqué

Si une minorité de Français perçoivent les principaux enjeux de la nouvelle réforme, une grande majorité des répondants désapprouvent totalement le système actuel. 77% des interrogés estiment que le système de formation n'est pas efficace (84% des cadres), ils sont également 77% à juger qu'il n'est pas facile à comprendre (85% des moins de 35 ans) ou encore 75% jugent qu'il n'est pas facile d'accès. Ces résultats reflètent "la très forte défiance des Français à l'égard du système de formation, une défiance qui se lit plus fortement encore auprès des sympathisants LREM, des moins de 35 ans et des cadres qui ont exprimé des opinions plus négatives encore."

Quelles sont les mesures soutenues ?

Les mesures relatives à la formation des demandeurs d'emploi et les salariés les moins qualifiés sont largement soutenues par les Français. 63% des Français estiment qu'il est prioritaire de soutenir la formation de ces publics. Il faut rappeler qu'actuellement, ce sont en priorité les actifs occupés du secteur privé (42,8%) et les agents du secteur public (17,4%) qui se partagent la plus grande part de l'enveloppe annuelle consacrée à la formation professionnelle (32 milliards d'euros). À l'inverse, les personnes en recherche d'emploi (15,1%) et les jeunes (23,7%) bénéficient d'une part bien bien plus faible de la dépense consacrée à la réforme rappelle une récente étude du ministère du Travail.

Les autres mesures jugées comme prioritaires par les Français (40%) concernent la participation des grandes entreprises au financement de la formation des TPE/PME (40% des Français jugent ceci prioritaire) et la création d'une instance pour certifier les formations et un observatoire de l'évolution des prix des formations, prioritaire pour 39% des Français.

En revanche, la possibilité que le compte personnel de formation (CPF) soit abondé en euros et non plus en heures recueille relativement peu d'intérêts chez les Français puisque 14% jugent cette mesure prioritaire. Enfin, la mesure qui consiste à proposer des formations uniquement sur Internet ne rencontre pas non plus un franc succès. Seuls 9% des Français considèrent que cette proposition est prioritaire. Ce taux illustre un attachement des répondants à des formats de formation plus classiques en présence d'un formateur par exemple. (sources la Tribune).

Tout savoir sur la réforme et le CPF : moncpf@overblog.com

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Travailleurs handicapés : les entreprises respectent-elles la loi ?

28 Mars 2018 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #insertion par l'économique, #Moniteurs d'ateliers, #social, #société

 

6%, c’est la part de travailleurs handicapés que les entreprises de plus de 20 salariés ont l’obligation d’employer. D’après une enquête, la majorité des entreprises reportage...

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Leur "bonne bouille" fait recette sur les marchés !

27 Mars 2018 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #social, #société, #Moniteurs d'ateliers, #insertion par l'économique, #Handicap

Résumé : Gilles Versluis, éleveur de cochons, a créé l'association "Les bonnes bouilles de Bouillac". Son projet ? Permettre à de jeunes adultes handicapés, comme son fils, trisomique, d'accéder à l'emploi, sur les marchés, au contact du public.

Par , le 
 

Les bonnes bouilles de Bouillac est une association née à l'initiative de Gilles Versluis, éleveur de porcs gascons, en Dordogne. Son objectif ? Montrer que son fils, Jules, avec une trisomie 21, ne manque pas de ressources. C'est en remarquant l'intérêt porté par certaines personnes au handicap de son fils, lorsqu'il en parle, qu'il prend la décision, avec d'autres parents, de se lancer dans cette aventure. Il décide ainsi d'installer un petit stand pour vendre ses produits (jambons, saucissons…), accompagné d'un jeune adulte en situation de handicap. Même si Gilles est personnellement touché par la trisomie, son projet concerne tous les handicaps, sans exception.

Au contact du public

Avec la rencontre d'Hugues, un jeune adulte porteur de trisomie 21, les choses se concrétisent. « Je l'ai croisé dans le bus de mon fils, et c'est après avoir rencontré ses parents que je lui ai proposé de venir travailler avec moi », explique l'éleveur. Ce dernier est convaincu que le jeune homme a le profil parfait pour mener cette petite affaire. « Il manifestait le désir d'être au contact de la clientèle », une qualité sur laquelle Gilles peut encore compter aujourd'hui. Avec l'envie de rassembler des personnes différentes et de mettre en lumière le handicap, son initiative prend rapidement de l'ampleur.

Une initiative qui sort de l'ordinaire

Contrairement au Téléthon, l'objectif de cet entrepreneur n'est pas de « récolter de l'argent mais de faire quelque chose qui permette aux personnes handicapées de participer », de manière active. Leur proposer un emploi, les mettre en condition de travail, c'est leur donner la visibilité et surtout la reconnaissance qu'ils peinent d'ordinaire à obtenir. « Les gens n'ont plus le temps de se rencontrer, d'échanger », déplore le président de l'association. C'est là tout l'objectif de son engagement : créer un lieu de partage. Selon lui, « trop peu de personnes en situation de handicap sont visibles aux yeux du monde, alors qu'ici les gens viennent, discutent, et c'est déjà beaucoup. » Lorsque la mairie de Belvès lui propose de s'installer sur son marché pour y tenir un stand tous les samedis, le père de famille voit beaucoup plus grand. Pour avancer, il faut des financements, et le marché est un bon moyen de faire connaître son projet.

D'autres projets…

Après deux ans à Belvès, Gilles Versluis continue d'avoir des rêves plein la tête. Il souhaite s'installer sur trois autres marchés, avec, toujours, derrière l'étal, une personne en situation de handicap. Touche-à-tout, il rénove également une vieille bâtisse à Bouillac afin d'en faire un lieu de vie qui accueillerait entre cinq et sept employés avec un handicap mental. « La situation de la personne importe peu. Ce qui compte réellement, c'est sa motivation et son envie d'interagir avec un public », confie-t-il . Dans un cadre naturel, sur plus de 6 hectares, le site proposera également une ferme et devrait ouvrir ses portes à des visiteurs en quête de calme et de sérénité.


© Les bonnes bouilles de Bouillac Par

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La RQTH en bref La reconnaissance de travailleur handicapé

27 Mars 2018 , Rédigé par CAC-FORMATIONS

La RQTH en bref

La reconnaissance de travailleur handicapé

 

La reconnaissance de travailleur handicapé

 

Pour qui ?

La définition de la qualité de travailleur handicapé est donnée par l'article L5213-1 du code du travail : 
« Est considérée comme travailleur handicapé au sens de la présente section toute personne dont les possibilités d'obtenir ou de conserver un emploi sont effectivement réduites par suite de l'altération d'une ou plusieurs fonctions physique, sensorielle, mentale ou psychique. »

Cette reconnaissance peut être attribuée à toute personne, âgée de 16 ans ou plus, exerçant ou souhaitant exercer une activité professionnelle, et dont les capacités physiques ou mentales sont diminuées par un handicap.
La personne doit résider en France métropolitaine, être de nationalité française ou ressortissant de l'espace économique européen, ou disposer d'un titre de séjour régulier pour les personnes de nationalité étrangère.

Pourquoi demander une RQTH ?

Faire reconnaître son handicap en demandant une RQTH permet d'accéder aux différentes mesures qui ont été prises pour les personnes handicapées en matière d'emploi et de formation professionnelle.

Ainsi, le fait d'avoir cette reconnaissance peut vous permettre :

  • de bénéficier du dispositif légal de l'obligation d'emploi: cette reconnaissance peut constituer un élément en votre faveur lors d'un recrutement car cela permet à l'entreprise susceptible de vous embaucher de vous compter dans son effectif de personnes handicapées et donc de satisfaire à cette obligation;
  • de bénéficier du soutien du réseau de placement spécialisé Cap Emploi qui a des programmes d'intégration ou du Sameth pour le maintien dans l'emploi ;
  • d'accéder aux contrats de travail « aidés »; 
  • de demander une orientation vers un établissement ou un service d'aide par le travail (ESAT) ;
  • d'accéder à un emploi dans une entreprise adaptée en milieu ordinaire,
  • d'accéder à des stages de formation professionnelle ou de rééducation professionnelle ;
  • de bénéficier des aides de l'Agefiph ou du FIPHFP;
  • d'accéder à la fonction publique par concours, aménagé ou non, ou par recrutement contractuel spécifique;
  • d'avoir accès au dispositif de retraite anticipée.

Les personnes ayant une RQTH sont soumises aux mêmes droits et obligations du code du travail que les autres travailleurs. Il existe cependant certaines mesures spécifiques, telles que :

  • Demander à l'employeur un aménagement d'horaires individualisés propres à faciliter l'accès à l'emploi, l'exercice professionnel ou le maintien dans l'emploi (mesure également applicable pour les aidants familiaux).
  • Bénéficier d'une durée du préavis légal doublée en cas de licenciement (avec un maximum de trois mois).

A noter : il n'existe pas d'obligation légale imposant de dire à son employeur que l'on possède une RQTH, ni même de le mentionner sur un Cv ou lors d'un recrutement. Consultez le site de l'Agefiph qui émet son avis à ce sujet.

Recruter des personnes ayant une RQTH ?

Embaucher des personnes ayant une RQTH fait partie des obligations des employeurs. En effet, tout employeur du secteur public ou privé, employant 20 personnes et plus, est tenu d'avoir dans son effectif, au moins 6% de personnes handicapées.

Obligations et décomptes mis à part, l'employeur pourra effectuer son recrutement selon ses critères relatifs au poste de travail, aux compétences et expériences recherchées. Les bénéfices de l'emploi d'une personne handicapée pourront être envisagés sur le plan de la motivation des personnes recrutées, de l'image affichée par la direction, des liens créés entre les salariés, d'expérience acquise en matière de maintien dans l'emploi, etc.

Recruter une personne handicapée permet aussi de bénéficier des aides de l'Agefiph (secteur privé) ou du Fiphfp (secteur public). L'entreprise pourra aussi étudier la possibilité de proposer au travailleur un contrat de travail « aidé ». 

 

Pour effectuer son recrutement, aménager le poste de travail, maintenir dans l'emploi, etc, l'employeur pourra faire appel aux organismes spécialisés (Agefiph, Cap emploi...) ou bien aux entreprises, aux associations et aux sites internet spécialisés de ce secteur.

Comment demander cette reconnaissance de travailleur handicapé ?

 

Cette reconnaissance relève de la compétence de la Commission des droits et de l'autonomie (qui remplace la Cotorep). Il faut donc  déposer un dossier à la Maison départementale des personnes handicapées.

 

La CDAPH examine le dossier et notifie au demandeur sa décision d'attribuer ou non la RQTH. Si la CDAPH ne répond pas à la demande dans un délai de quatre mois, cela signifie que la demande a été rejetée. La CDAPH peut rejeter la demande si elle considère :

  • que la personne peut accéder normalement à l'emploi, 
  • ou que la personne est dans l'impossibilité d'accéder à tout travail.

L'orientation dans un établissement ou service d'aide par le travail (ESAT) vaut reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé.

La RQTH est établie pour une période limitée dans le temps. A l'échéance, il faut penser à demander le renouvellement. Si vous aviez une RQTH établi par la Cotorep, il n'est pas nécessaire de la demander à nouveau à la CDAPH,  sauf lorsque la période pour laquelle  cette reconnaissance a été établie, arrive à échéance. 

sources handicap.fr

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Des travailleurs d'ESAT médaillés d'or pour leur bière!

26 Mars 2018 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Restauration, #Reconnaissance professionnelle, #social

Résumé : La brasserie de l'Esat d'Armentières a conquis le jury du Salon de l'agriculture. En mars 2018, l'une des bières produites par des personnes handicapées mentales a remporté une prestigieuse médaille d'or. La reconnaissance de leurs compétences !

 

Les travailleurs handicapés auraient-ils de bonnes raisons de se faire «mousser » ? Oui, répond le concours du Salon de l'Agriculture qui, en mars 2018, a décerné deux médailles aux brasseurs en situation de handicap mental de la brasserie Malécot. « C'est une immense fierté pour nous ! », se réjouit Elisabeth Zureck, directrice de cet Établissement et service d'aide par le travail (Esat) situé à Armentières (Hauts-de-France).

Un travail de grande qualité

Le Salon de l'agriculture est l'évènement qui récompense les meilleurs produits du terroir français. La brasserie Malécot participait à son concours national pour la première fois en 2018. « En y allant, nous n'avions pas en tête de revenir avec une médaille. C'était surtout l'occasion de découvrir le salon et son déroulement », poursuit la directrice. Et pourtant, ce n'est pas avec une mais bien deux médailles qu'elle est repartie. La Léonce Triple, créée en juin 2016, a remporté la médaille d'or, et la Blonde, née fin 2009, le bronze. « Jamais, durant la compétition, nous n'avons mis en avant le fait que notre bière était produite par des personnes en situation de handicap mental, explique la direction. Le fait que la Blonde, qui est la première bière entièrement brassée par nos soins, soit primée, prouve que le travail initial était déjà d'une grande qualité. »

Un véritable savoir-faire

La brasserie Malécot compte aujourd'hui une dizaine de brasseurs avec un handicap mental, accompagnés par deux moniteurs maîtres brasseurs. « Ce ne sont pas des professionnels issus d'une formation de brasseur mais des amateurs qui produisaient déjà de la bière à titre personnel », déclare la directrice. Du choix des grains à la fermentation, en passant par le brassage et l'embouteillage, les travailleurs créent la boisson de A à Z. Le processus de création d'une nouvelle bière les inclut et se déroule en différentes étapes. Dans un premier temps, la direction se réunit afin de savoir quel type de bière elle souhaite créer ; « Dans le cas de la Léonce Triple, nous sommes partis sur un triple affinage », précise-t-elle. Une fois la décision prise, les brasseurs sont chargés de faire quelques essais et ajustements, jusqu'à concocter le breuvage idéal.

Un franc succès

Si, aujourd'hui, l'Esat d'Armentières gère l'intégralité de sa production, cela ne fut pas toujours le cas. « Au début du projet, nos bières étaient produites en Belgique par un brasseur local qui nous envoyait ensuite la production. Après, nous prenions en main l'étiquetage », Elisabeth Zureck. Mais, en février 2015, avec le soutien de l'association des Papillons Blancs de Lille, l'Esat investit dans une micro brasserie pour gérer le processus en totale autonomie. Selon la directrice, « il aura fallu du temps pour prouver que le projet était viable ». Aujourd'hui, la brasserie dispose de cinq cuves. Une sixième a été achetée grâce à une campagne de financement participatif. « Avec cette dernière cuve, nous avons atteint notre maximum de capacité. » Pourtant, elle a des projets pour l'avenir. La bière Léonce est actuellement vendue dans près de 100 sites différents mais la directrice confie que, depuis l'annonce de la médaille, elle reçoit des appels de distributeurs partout en France qui souhaitent, eux aussi, la commercialiser.

Un avenir radieux

« Nous souhaiterions accroître notre production et ainsi offrir plus de postes de travail aux personnes accompagnées, essentiellement à l'étiquetage et le conditionnement », conclut Elisabeth. En effet, le travail au sein de la brasserie Malécot a déjà permis à deux travailleurs en situation de handicap mental de valider leurs compétences grâce à une validation des acquis d'expérience sur le métier de brasseur ; la direction espère encourager davantage ce type d'initiatives. De plus, deux nouvelles bières devraient voir le jour d'ici la fin de l'année.

© Facebook et Papillons blancs de LillePar , le 

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témoignage ,expressions d'un détachement en entreprise

24 Mars 2018 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Reconnaissance professionnelle, #Restauration

témoignage de Raouf Cuisinier en détachement en entreprise du secteur de la restauration collective.

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Autisme et travail au quotidien...

21 Mars 2018 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Reconnaissance professionnelle, #Moniteurs d'ateliers

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