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LE BLOG DU CAC-FORMATIONS

societe

L'équithérapie ... le cheval qui soigne

12 Juin 2015 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #société, #Handicap

À mi-chemin de la thérapie et de l'activité physique, l'équithérapie permet à de nombreuses personnes handicapées de renouer avec des sensations de liberté et de développer du lien social. reportage...

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Travailleurs... ? Non peut-être !

11 Juin 2015 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Reconnaissance professionnelle, #société

Dans ce documentaire de 20 minutes, la FEBRAP vous invite à la rencontre des 13 Entreprises de Travail Adapté bruxelloises. Performantes et diversifiées, elles se positionnent sur le marché du travail comme de véritables partenaires économiques.

Ce film, qui nous guide à travers Bruxelles, offre un panorama de tous les métiers pratiqués dans ces entreprises et donne la parole aux travailleurs.

Loin du paternalisme dont étaient affublés les ateliers protégés, c'est ici une vision réaliste et sans fioritures du travail des 1450 travailleurs handicapés bruxellois qui nous est livrée.

La FEBRAP (fédération bruxelloise des entreprise de travail adapté) regroupe ces 13 organismes pour leur permettre d'être plus forts ensemble ...

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Réforme de la formation : vos questions...

11 Juin 2015 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #société

Réforme de la formation : vos questions...

A la demande de nombreux lecteurs,nous revenons autour des questions les plus souvent posées:

  • Mise en place du Compte personnel de formation (CPF) : que deviennent les heures de DIF ?

Le CPF remplace le DIF à compter depuis cette 1er janvier 2015. A partir de cette date, le reliquat des heures DIF non utilisées au 31 décembre 2014 sera mobilisable selon les règles du dispositif CPF jusqu'au 31 décembre 2020, date à laquelle les heures de DIF non utilisées seront définitivement perdues.

Elles pourront être complétées, le cas échéant, par des heures inscrites sur le CPF, dans la limite d'un plafond de 150 heures et dans des conditions à déterminer par décret.

Chaque salarié commencera à acquérir des heures au titre du CPF à compter du 1er janvier 2015, dans la limite de 150 heures. Ce rythme d'acquisition est déconnecté du compteur DIF.

  • Financement de la formation : quels sont les taux applicables en 2016 ?

La Loi du 5 mars 2014 met en place de nouvelles modalités de financement de la formation qui entreront en vigueur au 1er janvier 2015. Elles s’appliqueront donc à partir de la collecte des contributions dues au titre de l’année 2015.

Concrètement :
Pour la participation au titre de l’année 2014, les montants des contributions «formation» seront identiques à ceux des années précédentes et leurs versements, calculés sur la base de la MSB 2014, devront être effectués à la date habituelle soit avant le 1er mars 2015. La déclaration 2483 relative à la participation au titre de l’année 2014 devra être effectuée avant le 5 mai 2015.

Pour participation au titre de l’année 2015, les nouveaux taux seront calculés sur les rémunérations versées en 2015. Ils s’appliqueront, sur la base de la MSB 2015, à la collecte des contributions recouvrées au plus tard le 29 février 2016. ».

  • Comment s’effectuera la gestion des heures du CPF ?

Ce ne sera pas à l’employeur de gérer le CPF de ses salariés.

Le CPF prendra la forme d’un service dématérialisé gratuit, tenu par la Caisse des Dépôts et Consignations (art. L.6323-8, I du Code du Travail).

Chaque titulaire pourra accéder à un espace lui permettant :
- de connaître son nombre d’heures créditées, les formations éligibles ainsi que les abondements complémentaires pouvant être sollicités ;
- d’élaborer et d’actualiser un « passeport d’orientation, de formation et de compétences ».

En pratique, les droits CPF seront calculés à partir des données déclarées par les employeurs dans la déclaration annuelle des données sociales (DADS) et à terme, dans la déclaration sociale nominative (DSN).

Un décret précisera les modalités de gestion du CPF par la Caisse des Dépôts et Consignations.

  • Quelles sont les particularités du CPF pour les travailleurs handicapés ?

Les personnes handicapées accueillies dans un établissement et service d’aide par le travail seront dotées d’un CPF, dès 16 ans.

En cas de durée de la formation supérieure au nombre d’heures inscrites sur le compte, l’AGEFIPH pourra financer des heures complémentaires, pour les titulaires handicapés (salarié ou demandeur d’emploi) du CPF (art. L.6323-4, III du Code du Travail).

Cet abondement complémentaire pourra être déduit du montant de la contribution due à l’AGEFIPH par l’entreprise (art. L.5212-11 du Code du Travail).

Un décret viendra préciser les modalités d’abondement complémentaire des travailleurs handicapés.

  • Que devient la déclaration n°2483 ?

A l’heure actuelle, l’administration contrôle le respect par les employeurs des règles de financement de la formation professionnelle via la déclaration fiscale n°2483 qu’ils doivent remplir chaque année. La Loi du 5 mars 2014 supprimant l’obligation fiscale des employeurs, l’article L.6331-32 du Code du Travail (prévoyant cette déclaration) est modifié.

La déclaration 2483 va donc disparaître. Dès lors, les employeurs seront tenus de transmettre à l’administration des informations relatives aux modalités d’accès à la formation de ses salariés, selon des modalités prochainement définies par décret.

Mais attention : les employeurs devront encore remplir une déclaration 2483 en 2014 (portant sur l’année 2013) et en 2015 (portant sur l’année 2014).

sources diffusion UNIFAF

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Vaincre les idées reçues.... du travail protégé!

9 Juin 2015 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #société, #Reconnaissance professionnelle

EDF, pour combattre les préjugés, a fait réaliser ce petit reportage, montrant les compétences des travailleurs employés dans le Secteur du Travail Protégé et Adapté,depuis 40 ans..reportage à Bretagne Ateliers...

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Les entreprises d'insertions appelent à l'aide...

27 Mai 2015 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #société, #Reconnaissance professionnelle

difficultés économiques pour les entreprises d'insertions, pour lesquelles les aides non pas été revues depuis 10ans.

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Une entreprise de bureautique... pas simplement

27 Mai 2015 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #société, #Reconnaissance professionnelle, #Moniteurs d'ateliers

L’entreprise de bureautique SOTRES

« SOTRES me remet le pied à l’étrier pour rejoindre plus tard une entreprise », témoigne Maud qui a perdu son travail de secrétaire après une « dépression » dont elle souffre encore. Elle est salariée de SOTRES comme 27 autres personnes handicapées par une maladie psychique. Plus de la moitié d’entre elles finissent par trouver un poste de travail en milieu ordinaire

Fondée par des parents de jeunes adultes handicapés par une maladie psychique et des cadres d’entreprise, SOTRES (Sous TRaitance Et Services) 1 propose à ses salariés des travaux de sous-traitance en bureautique (saisie, numérisation, gestion de documents…). Le choix de la bureautique s’est imposé à la création de l’entreprise en 1992, cet outil se retrouve dans tous les secteurs professionnels et permet de développer la capacité d’attention et de concentration. L’entreprise accueille 28 salariés à temps partiel encadrés et accompagnés dans la construction de leur projet socioprofessionnel par quatre permanents et un psychologue clinicien en partenariat avec la Cotorep, le réseau Cap emploi et les structures d’évaluation et d’accompagnement du handicap psychique. Les salariés sous traitement et stabilisées, peuvent choisir de travailler le matin ou l’après-midi. Les contrats d’insertion à durée déterminée durent au maximum deux ans. Actuellement, la durée moyenne de transition s’élève à 11,3 mois.
Les salariés, bénéficiaires de la loi du 10 juillet 1987 (titulaires d’une décision Cotorep ou d’une pension d’invalidité), sont d’anciens étudiants, techniciens, cadres… âgés de 20 à 50 ans, avec un niveau de formation égal ou supérieur au baccalauréat. Les psychologues et assistants sociaux des services hospitaliers, les structures d’évaluation et de placement, la Cotorep, le bouche à oreille, les ont orientés vers SOTRES… « Le service public de l’emploi les oriente plus rarement vers nous, il n’a pas toujours l’expertise pour détecter une maladie psychique » explique Marie de Colbert, la directrice 2 . « La Cotorep oriente parfois les personnes handicapées par une maladie psychique en milieu ordinaire dès qu’elles sont stabilisées. Or, la plupart ont besoin d’une transition dans une structure comme la nôtre », estime Jean-François Coldefy, psychologue clinicien. Il a pour mission de veiller à la cohérence du parcours d’insertion des personnes et n’a pas de fonction soignante au sein de SOTRES. Même si les salariés peuvent venir lui parler s’ils en éprouvent le besoin, il tient à la séparation entre le monde du travail et celui du soin. SOTRES sert donc de passerelle entre des personnes encore fragiles et suivies par un psychiatre en ville et l’entreprise. « Tout le monde a des hauts et des bas, mais pour les salariés de SOTRES il y a encore davantage de bas, précise Maud, « dans une entreprise ordinaire nous aurions souvent été en arrêt maladie et finalement licenciés ».
« La maladie psychique est un handicap qui ne se voit pas. Elle fait très peur aux employeurs. Le comportement des personnes souffrant de ces troubles est souvent déconcertant. Un petit détail anodin peut provoquer une grave crise chez certaines. Ces personnes sont souvent hyperémotives, présentent des comportements décalés ou souffrent d’une grande fatigabilité », explique Marie de Colbert. « Cette forme de handicap peut évoluer avec le temps et l’employeur ne sait pas toujours à quoi s’attendre », ajoute Jean-François Coldefy. Et Maud de renchérir : « Lorsque je cherche un poste, je ne précise pas que je suis travailleur handicapé, l’employeur aurait peur que je sois toujours en arrêt maladie, même si je respecte les prescriptions de mon médecin ».
Pour intégrer SOTRES, le candidat doit d’abord rencontrer Jean-François Coldefy qui évalue si la structure peut répondre à ses attentes, un médecin psychiatre extérieur à SOTRES s’assure ensuite que la personne est bien suivie sur le plan psychiatrique et qu’aucune contre indication médicale s’oppose à son entrée dans un parcours d’insertion. Enfin, Marie de Colbert procède à l’entretien d’embauche proprement dit. L’entreprise SOTRES étant non médicalisée, elle ne détient aucun dossier médical, mais Jean-François Coldefy assure, en cas de besoin et toujours en accord avec le salarié, l’articulation avec le monde du soin. Les personnes accueillies à SOTRES ont pour la plupart un bon niveau d’étude, l’entreprise a déjà accueilli un polytechnicien, des centraliens, des médecins, un architecte, des commerciaux… La maladie (psychose, schizophrénie, dépression…) s’est déclarée tard, souvent après leur vingtième anniversaire. « Ces personnes ont eu le temps de construire un projet professionnel que la maladie est venue casser. Elles vont devoir en construire un nouveau qui n’a souvent rien à voir avec leur formation ou leur expérience. Cela peut-être très douloureux, mais également représenter une réelle opportunité de changer de cap, précise Jean-François Coldefy. On dit que la maladie arrive comme un coup de tonnerre dans un ciel serein. On ne sait pas vraiment quand elle a commencé, les signes avant coureurs sont passés inaperçus. Elle se déclare dans un moment de fragilité où quelque chose est activé. Les traitements stabilisent les personnes mais leurs effets peuvent être trompeurs, certaines, grâce aux traitements, se sentent aptes à reprendre leur première activité, or c’est rarement le cas ».
SOTRES est une passerelle vers l’emploi appréciée par Philippe. Cet homme d’une trentaine d’années a suivi diverses études : baccalauréat de secrétariat, École du Louvre, fac d’histoire… études qu’il ne menait jamais à terme à cause de ses problèmes de santé : « De la schizophrénie, selon mon psychiatre », dit-il. SOTRES lui a permis de travailler à son rythme. « Au début, poursuit Phillipe, je ne tapais que deux lignes en une heure sur mon clavier, je n’arrivais pas à me concentrer. Les encadrants m’ont laissé tranquille. Aujourd’hui, je saisis mes textes bien plus rapidement ». Un travail qui lui a également redonné de l’assurance. À son arrivée à SOTRES, il y a un an et demi, il ne quittait jamais son blouson et sa capuche lui couvrait le visage. Aujourd’hui, il se sent mieux. « La mémoire et la concentration sont revenues grâce à l’utilisation de l’outil informatique et peut-être aussi après un pèlerinage à Lourdes », plaisante-t-il. « L’utilisation de l’outil informatique permet aussi de retrouver une rigueur », enchaîne Fabrice. Ce jeune adulte n’avait effectué que des petits boulots dont il démissionnait rapidement. Salarié à SOTRES depuis 18 mois, il se sent plus serein : « Nous préparons nos futurs entretiens en entreprise, apprenons à nous présenter… Ce qui ne gomme pas toutes ses inquiétudes : « Comment expliquer les trous dans mon CV ? », ni ses critiques par rapport au trajet d’insertion : « Ce qui me chiffonne c’est que j’ai beaucoup trop de référents d’insertion ». Sophie, qui n’avait qu’une expérience dans le bénévolat reprend confiance en elle : « J’ai appris que je suis capable de faire quelque chose. Dans quelques jours je pars en prestation dans une grande entreprise. Avant, je n’aurais jamais eu le courage d’y aller ».
Dès son entrée à SOTRES, le salarié est incité à réfléchir à un projet professionnel en vue de sa sortie. Les premiers mois constituent une période de prise de repères (respect des horaires, évaluation de la maîtrise de l’outil informatique et de la capacité à travailler en équipe). Progressivement – et durant les heures de travail – des démarches de recherche d’emploi sont mises en œuvre. « Une fois par semaine, un bénévole propose un atelier de technique de recherche d’emploi. Certains salariés souhaitent dès leur entrée répondre à des offres. Pour tout rendez-vous obtenu, je les incite à s’y rendre afin de leur permettre de se tester en situation d’entretien. Plus les personnes avancent dans le temps, plus nous les incitons à entrer dans une logique de démarche de recherche d’emploi », souligne Marie de Colbert. Il peut être proposé aux salariés d’effectuer les travaux de bureautique au sein des entreprises clientes du réseau développé par SOTRES (IBM, EDF-GDF, Aventis, Lafargue, Bull…). À SOTRES ou en prestation extérieure, les exigences sont les mêmes que dans les entreprises ordinaires.
En sortant de SOTRES, plus de la moitié des personnes trouvent un poste en milieu ordinaire de travail. Les autres ne travaillent pas, soit parce que leurs problèmes de santé s’avèrent incompatibles avec un emploi, soit parce qu’elles n’en ont pas trouvé. Dans ce cas, le relais peut être assuré par des structures telles que le Club Arihm 3 qui propose d’autres formes d’aide à l’insertion professionnelle des personnes souffrant de troubles psychiques. Les grandes entreprises où les salariés de SOTRES ont effectué des prestations leur proposent-elles des postes ? « C’est déjà arrivé, mais cela reste rare », regrette Jean-François Coldefy « La priorité des Missions handicap des grandes entreprises est de maintenir dans l’emploi leurs propres salariés qui ont des problèmes de santé ou de handicap. Même si les entreprises reconnaissent la compétence de nos salariés, elles ne les embauchent pas. Pour quelques-unes la sous-traitance avec SOTRES permet de se dédouaner en partie de l’embauche obligatoire de 6 % de personnes handicapées ».
SOTRES est financée par la DDTEFP, la DDASS, le conseil général, la mairie de Nanterre et l’AGEFIPH et reçoit le soutien de quelques grandes entreprises (IBM, EDF-GDF). Depuis mars 2004, SOTRES met en place un chantier d’insertion en adjonction à l’entreprise d’insertion. Il propose aux salariés les mêmes activités mais avec un statut différent. Ils sont embauchés en Contrat emploi solidarité. Le projet SOTRES a séduit l’association d’accompagnement des personnes handicapées psychiques « Espoir 54 » 4 qui en a repris le concept, avec un statut juridique différent. SOTRES Lorraine, une entreprise adaptée, devrait ouvrir ses portes dans le courant de l’année 2004.

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Bien manger en maison de retraite et en foyer médicalisé

21 Mai 2015 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Hebergements pour adultes EPHAD Maintien à domicile, #Restauration, #société

Bien manger quand on vit en maison de retraite où en foyer de vie c'est toujours une question d'équilibre et bien plus qu'un simple geste de santé dans la vie des résidents A Criquetot l'Esneval, l'Ehpad de la Pommeraie propose à ses résidents des repas à la carte. Choisir son plat et son menu, comme on choisit le programme de sa journée ou encore son médecin, c'est renforcer l'identité de chacun et redonner à sa vie autant de goût qu'aux plats confectionnés sur place.

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Elodie Marmotin le RAP du Handicap... à écouter sans modération.

21 Mai 2015 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Hebergements pour adultes EPHAD Maintien à domicile, #société, #Vie Sociale

Elodie Marmotin le RAP du Handicap... à écouter sans modération... diffusé sur YOU TUBE

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